Nous revenons en France pour ce nouvel entretien exclusif avec des artistes qui incarnent une voix singulière et alternative sur la scène musicale française et eurovisionesque, d’autant plus que non loin du cercle polaire (enfin à plus de huit cents kilomètres quand même), ils ont porté fièrement les couleurs de la France en rose et en franglais s’il vous plaît. Rappelez-vous.
I remember a jolie demoiselle The Last Summer, nous, la Tour Eiffel ...
C’était en 2007. Un groupe déjanté nommé Les Fatals Picards remportait Eurovision : et si c’était vous ? et décrochait par là même un ticket pour représenter la France au concours de l’Eurovision à Helsinki, suite à la victoire des tout aussi atypiques Lordi l’année précédente à Athènes.
La prestation en images :
Classement : 22ème en finale (19 points)
Afin de revenir sur l’expérience du groupe au concours, le guitariste du groupe, Laurent Honel, a accepté de répondre à nos questions pour les lectrices et les lecteurs de L’Eurovision Au Quotidien à travers un long entretien téléphonique.
Comment est venue l’envie de participer à la sélection nationale française en 2007 ?
Au début on n’y croyait pas. On était en train de préparer notre cinquième album, on venait de signer chez Warner et ils avaient été contactés en amont par France Télévisions, qui avait la volonté de renouveler et de repenser la sélection. On nous a dit qu’il y aurait des artistes comme les Wampas, les Majorettes (produites par Philippe Katerine) et que cela serait différent. On était décalés, un peu « farfelus », très second degré et c’est alors qu’on nous a proposé d’écrire une chanson. Cela nous paraissait tellement improbable qu’on nous propose ça qu’on a accepté tout de suite, et on a écrit L’amour à la française en deux ou trois jours. Après, il y a eu la sélection sur France 3. On était super content, parce que l’Eurovision pour nous, c’était ringard sans l’être. On aurait pu se dire que ce n’était pas fait pour nous, mais très vite on s’est dit que tellement peu d’artistes avaient la chance de le faire, et en plus on avait la chance de pouvoir écrire notre chanson.
C’est vrai que de prime abord, votre univers est assez éloigné de l’Eurovision…
Totalement ! D’ailleurs, nous avons pensé la chanson de l’Eurovision pour l’Eurovision, avec le décalage, le mélange du français et de l’anglais, le jeu sur les clichés, sur l’image que les touristes peuvent avoir de la France avec ses icônes (Tour Eiffel, Champs-Élysées…). On ne l’aurait pas fait avec une autre chanson des Fatals Picards qui n’aurait pas été pensée pour l’Eurovision. On a fait ça avec humour, on savait très bien qu’on n’allait pas gagner, mais on y est allé en voulant gagner quand même !
À ce moment-là, vous étiez bien positionnés chez les bookmakers ?
On n’était pas mal, je me souviens qu’à notre arrivée à Helsinki en Finlande, les bookmakers avaient l’air de dire qu’on pouvait finir dans les dix premiers.
Comment avez-vous vécu l’expérience de la « machine Eurovision » sur place ?
Comme vous dites, c’est impressionnant, c’est une machine ! Surtout qu’à l’époque, on avait moins d’expérience que maintenant, notamment sur la taille des salles. Ce sont les Jeux Olympiques de la chanson, tout est énorme, tout est surdimensionné, que ce soit le lieu où ça se déroule, le nombre de personnes qui s’occupent de nous, les hôtels où vous êtes hébergés, le nombre d’évènements auxquels vous participez en une semaine, … C’est la première fois où l’on était confronté à quelque chose de très très grand en termes d’organisation.
Comment avez-vous vécu l’ambiance de l’Eurovision au quotidien durant cette semaine-là ?
Il y a tellement de monde, et on était tellement novices qu’on s’est surtout laissé doucement planer. On est passé de répétitions en soirées, de restaurants en rencontres. Je me souviens qu’on s’est retrouvé à l’ambassade de France à jouer notre chanson au piano devant l’ambassadeur de France en Finlande et des gens issus des milieux consulaires, on s’est retrouvé à faire des soirées avec des transformistes finlandais, c’était totalement hors du temps pour nous ! Il y avait une humeur très légère, on ne l’a pas vécu comme des pays qui le prenaient beaucoup plus sérieusement que nous. Nous, on était là pour s’amuser et faire ce qu’on avait à faire avec humour.
Un moment ou une rencontre vous a plus marqué qu’un autre ?
L’un des moments les plus impressionnants, c’était lorsqu’on a été sélectionné. Jean-Paul Gaultier s’occupait des costumes à l’époque et on a passé quelques heures à faire des essayages dans son showroom d’Arts et Métiers à Paris. Quand on commence à rencontrer l’un des plus grands couturiers du monde qui vous demande si ça vous va bien, on bascule dans quelque chose de différent de d’habitude. Après, sur place, ce qui est impressionnant – parce qu’on n’avait pas encore vécu ça -, c’est quand on débarque sur la scène et qu’on voit le stade qui devait contenir 18 000 personnes. Quand on voit les 18 000 personnes – et même si l’on sait que c’est du playback et que l’on a peu de chances de se planter en termes de représentation. -, ben ouais, c’était impressionnant. Tout le dispositif technique … Mon anecdote préférée, c’est que j’avais une guitare rose – on avait des guitares en forme de cœur – et j’ai dit en rigolant « Ce serait bien si j’avais du vernis rose comme ma guitare ! ». Le lendemain, la maquilleuse est venue vers moi avec quatre teintes de vernis différents pour qu’on voit si ça correspondait bien à ma guitare. Après, il y a une certaine monotonie dans les répétitions, puisque pendant une semaine, on répète au même moment, avec les mêmes pays – je crois qu’on avait les irlandais avec nous –, c’est très répétitif, et à la fin il nous tarde que le live arrive.
Ce doit être un rythme affolant !
Encore, nous n’avions pas une machinerie très complexe. La prestation, elle se fait en play-back à part pour le chanteur, donc pour nous les musiciens, c’était confortable, ça ne demandait pas un boulot considérable et il n’y avait que lors du prime qu’on devait être concentrés pour donner le meilleur.
Vous avez fini à la vingt-deuxième place du classement, ex-aequo avec Scotch. Comment avez-vous vécu ce résultat ?
À la fin, on était déçu, parce qu’on n’espérait clairement pas gagner, mais finir avant-avant dernier, il faut être malhonnête pour trouver ça chouette sur le moment. Ce n’était pas un bon résultat, ça nous a valu pas mal de moqueries, ce n’était pas très agréable. Sur l’instant, on ne l’a pas bien vécu, on a été triste de pas avoir fait mieux. Après, la différence avec beaucoup d’artistes de l’Eurovision, c’est qu’on avait une carrière avant et que l’Eurovision n’était qu’un moment parmi d’autres. Le temps a passé et c’est devenu quelque chose de positif. Maintenant, on dit qu’on est le groupe qui a fait l’Eurovision, on n’a pas gagné, on a fini avant-avant dernier, mais pour notre carrière, c’est génial sur notre CV.
Justement, quel a été l’impact du concours sur votre carrière ?
Ça a été un accélérateur pour nous. On remplissait des salles de trois ou quatre cents personnes, et après l’Eurovision – et c’est encore le cas maintenant – on remplissait des salles de huit ou neuf cents, voire mille ou deux mille personnes. On a eu une exposition médiatique qu’on n’a jamais eu auparavant et qu’on n’aurait sûrement jamais maintenant, parce qu’on n’était pas les Fatals Picards, on était les artistes qui représentaient la France à l’Eurovision 2007. On a fait des émissions qu’on n’aurait jamais fait en temps normal, comme Ruquier, Taratata, des émissions qui, pour des groupes comme nous, issus de la scène alternative, n’arrivent jamais. L’avantage pour un groupe comme les Fatals, qu’on aime ou pas ce que l’on fait, c’est que beaucoup de gens ont eu la chance de nous découvrir et de devenir fans à ce moment-là. Ils sont allés creuser dans notre discographie et ont vu qu’on avait d’autres choses à proposer. Là, on va fêter nos vingt ans à l’Olympia, notre huitième, et si on a fait huit Olympia pleins à craquer, c’est en partie grâce à ça, c’est certain.
Surtout qu’au moment de l’Eurovision, vous veniez de sortir votre album Pamplemousse mécanique ?
Ça tombe bien parce que, je ne veux pas nous jeter des fleurs, mais c’était vraiment un bon album des Fatals, qui était très révélateur. On a eu le disque d’or, on avait vendu trente ou quarante mille albums avant l’Eurovision sans L’amour à la française et on en a revendu trente ou quarante mille après avec L’amour à la française inclus dedans. Ça ne nous était jamais arrivé auparavant ! On n’était pas le groupe qui venait juste faire une chanson pour l’Eurovision. C’est ça le problème maintenant : on a des artistes sélectionnés qui viennent parfois de nulle part et qui repartent comme ils sont arrivés. Ça a assis notre notoriété. On avait déjà une belle voiture, et on nous a changé la carrosserie avec l’Eurovision.
Aujourd’hui, l’Eurovision a-t-elle encore un effet sur votre carrière ?
Sur notre carrière, aujourd’hui je ne pense pas. Si le public vient à nos concerts et achète nos disques, c’est pour nos chansons en général. Je pense que si on avait fait des chansons comme celle pour l’Eurovision par la suite, on n’aurait pas du tout le public qu’on a maintenant. On continue à jouer L’amour à la française très régulièrement sur scène. Le risque, c’est qu’après l’Eurovision, aux yeux de beaucoup de programmateurs, on était « le groupe qui a fait l’Eurovision » et on a eu la chance de s’en abstraire. Ce qui nous fait plaisir aujourd’hui, c’est qu’on a fait l’Eurovision, mais ce n’est plus à l’aune de cela qu’on est jugé. Cela fait partie de notre carrière, mais notre tourneur ne nous présente plus comme le groupe de l’Eurovision. Parmi les gens qui ne connaissent pas les Fatals Picards, il m’arrive d’en rencontrer qui me disent « Ah, mais vous n’aviez pas fait l’Eurovision ? ». Ça reste un marqueur, mais on a la chance d’avoir vécu ce moment incroyable et de ne plus en être dépendant.
C’est vrai qu’après, il y a eu cinq albums, des tournées, donc on n’est plus forcément rattaché à cette étiquette là…
Oui, après il y a eu une période où on essayait de ne pas trop le revendiquer pour d’autres raisons, mais maintenant, on revendique pleinement le fait d’avoir participé à l’Eurovision. Il y a des gens qui disent que c’est ringard, mais non, on est très fier de pouvoir dire qu’on a fait l’Eurovision sur notre C.V. On a vécu une expérience incroyable, hors du temps, hors normes à tous les niveaux et on est content de le revendiquer, parce qu’on n’est pas là à chanter notre chanson en tête de gondole dans un supermarché comme un vieux chanteur oublié. Ça fait partie de notre carrière.
Tout à l’heure, vous me disiez avoir regardé le film Eurovision : The Fire Saga. Vous vous intéressez toujours au concours aujourd’hui ?
Tout à fait ! Je regardais ça avant. Avec les Fatals, on a toujours suivi ça, pas forcément de très près, d’autant plus qu’on est souvent en concert le soir de l’Eurovision. Comme on y a participé, on connaît les coulisses, donc ça nous fait marrer, et chaque année, lorsqu’on voit les artistes français, on se dit « Ah ben, ça ne va pas être pour cette année ! ». On voit qu’il y a une géopolitique du vote. Mais nous, on aime bien regarder. Il y a des choses chouettes, et l’Eurovision est devenue très positive. Il y a une volonté de promouvoir la différence (même si ce terme ne veut rien dire) et l’altérité, quand on voit Conchita Wurst, Netta ou Bilal en France, on voit que chacun peut vivre sa vie « différemment », hors des canons imposés par la société, et c’est bien.
Il y a aussi une évolution vers plus de diversité musicale …
Oui ! Je ne dis pas ça parce que c’était nous, mais j’ai l’impression qu’on a été les premiers à amener de la diversité au concours. On a d’ailleurs succédé à Lordi, la première fois qu’un groupe de métal très maquillé et très parodique arrivait à l’Eurovision, c’était déjà un signe.
Avez-vous des instants marquants de l’Eurovision ces dernières années ?
Je ne me souviendrai plus des noms, mais personnellement, j’avais beaucoup aimé Conchita Wurst. Déjà, ça chante, et puis le personnage me paraissait tellement outrancier de manière positive, que j’ai trouvé ça incroyable. Après, je n’ai pas eu de coup de cœur sur des chansons. Même avant les Fatals, je trouve qu’on a perdu quelque chose. Du temps de France Gall ou même d’ABBA, j’avais l’impression que les artistes venaient défendre des chansons. Maintenant, on défend des tactiques pour gagner l’Eurovision. Avec Waterloo ou Poupée de cire, poupée de chanson, on écrivait des chansons qu’on venait défendre, tandis que maintenant on cherche à gagner. Ça sent davantage l’ambition que la musique, et ça se voit d’ailleurs : combien de tubes de l’Eurovision écoute-t-on encore maintenant à part Marie Myriam, ABBA, peut-être Joëlle Ursull de temps en temps et encore ? Après je n’ai pas d’artistes en tête … Le côté musical se perd un peu.
Contrairement à la Scandinavie ou l’Europe de l’Est, la France n’est pas encore un pays fan de l’Eurovision …
Ça s’est peut-être ringardisé avec le temps, mais si on envoyait des artistes comme les Daft Punk ou des Maître Gim’s, qu’on aime ou qu’on n’aime pas, mais des gens populaires en France, on aurait peut-être un regard plus sérieux sur le concours. Je me souviens que lorsque j’ai fait l’Eurovision, la plupart de mes copains m’ont dit « Mais c’est quoi ce truc de ringards ? », alors que le seul copain qui a trouvé ça génial était grec. Pour lui, avec l’Eurovision, j’étais devenu un demi-dieu, alors j’ai senti que ce n’était pas la même perception selon les pays.
D’autant plus qu’en France, mais aussi dans les pays francophones, on connaît quelques difficultés, malgré des pics de mieux avec Amir, Alma, Madame Monsieur …
Oui, Amir c’était bien, je m’en souviens maintenant, ou Patricia Kaas aussi …
Pourquoi selon vous, et quelles solutions apporter pour trouver un successeur à Marie Myriam ?
(Rires) C’est ce qu’elle nous avait dit « Pitié, gagnez, j’en peux plus qu’on parle de moi ! ». On a la chance dans la musique électro d’avoir des groupes exportables, c’est pour ça que je parlais des Daft Punk, parce que dans la chanson française, on n’a pas de groupes exportables, ou très peu. Les Daft Punk ont un rayonnement et une aura à l’international incroyables, ils n’ont certes rien à gagner à faire l’Eurovision, mais le français moyen se dira « Ah ouais cette année on envoie du lourd » et l’étranger « Ah ouais, c’est du gros calibre ! ». Des gens comme eux n’ont pas besoin de ce genre de choses ou n’ont pas envie d’y passer, ça ne les intéresse peut-être tout simplement pas. Je n’ai pas d’autre nom en tête, mais il y a sûrement des artistes français qui à l’international … Jean-Michel Jarre, ce n’est plus son truc, mais voilà, il faut des artistes crédibles. Avec Madame Monsieur, là pour le coup, j’étais atterré. Je n’ai pas compris. C’était pour moi le degré zéro musicalement, et même en termes de spectacle. Après, si on n’a pas la chanson, faisons le show. On pourrait trouver des artistes français qui ont la crédibilité, la musicalité et qui pourraient faire du grand spectacle. Si on arrive à aligner des artistes crédibles, ça modifiera la perception qu’on a du concours en France, beaucoup de gens le regarderont. J’ai l’impression qu’on ne le regarde pas parce qu’on a honte et qu’on sait qu’on va se prendre une taule. Ça ne donne pas très envie de le suivre dans ces cas-là.
Après, grâce à des Amir, on a réussi à faire croître l’audience…
Amir, j’ai l’impression que c’est le seul à avoir suscité l’engouement ces dernières années, mais oui, ça tient à peu près la route ce qu’il fait.
Avec Madame Monsieur, on était pourtant parmi les favoris à la victoire !
Avec les Fatals, on a l’habitude d’écrire des textes engagés, et moi pour le coup, je trouvais ça extrêmement racoleur d’embarquer cette histoire de migrant. Je trouve que c’était une fausse bonne idée. Cette chanson-là me mettait très mal à l’aise. Pour le coup, même s’ils se sont ramassés, je trouvais Twin Twin avec Moustache plus drôle. Ils avaient choisi aussi Sébastien Tellier, c’était totalement barré, et je trouve que là aussi, il y avait la crédibilité.
Sébastien Tellier et vous, vous avez été les précurseurs de la diversification du concours…
Un mec comme Philippe Katerine pourrait faire l’Eurovision. Il peut faire quelque chose de dansant et barré.
Pour conclure, vous aviez été coachés par les anciens participants ?
Non, pas du tout. À part en sélection sur France 3, où on a vu Marie Myriam en coup de vent. Bruno Berbérès de France Télévisions nous accompagnait pendant le concours et à l’extérieur, et il nous a un peu aidés, mais je pense qu’avec nous, ils ont bien compris qu’il n’y avait pas grand-chose à faire. On a surtout été sélectionné par le public pour ce qu’on était et pas pour ce qu’on pouvait être.
À refaire vous le referiez ?
Ah ouais, ouais ! On a rigolé l’autre fois, parce que quand on a fêté les dix ans, c’était donc en 2017, avec les copains on a fait croire qu’on allait se présenter pour le Vatican. On le referait sans soucis, d’autant plus maintenant avec le recul, la maturité. Si on nous propose de représenter la France à nouveau, et je ne peux pas parler au nom de mes trois collègues et amis, mais ouais, ouais, je pense qu’on remet les pieds dans le plat direct !
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L’actualité des artistes :
Le dernier album des Fatals Picards, Espèces menacées, est paru en avril 2019.
La tournée des vingt ans du groupe aurait dû démarrer au début de l’année 2020, puis a été reportée à l’automne 2020, avec en ligne de mire un passage par l’Olympia à Paris le 17 octobre prochain pour fêter les vingt ans de carrière du groupe. Néanmoins, en raison de la crise sanitaire, de nombreuses dates ont été annulées ou reportées, dont celle de l’Olympia, finalement reprogrammé le 18 septembre 2021 (avec possibilité de remboursement des places jusqu’au 31 décembre 2020). L’ensemble des dates de la tournée est disponible sur le site officiel du groupe : https://www.fatalspicards.com/.
Merci encore infiniment à Laurent Honel d’avoir accepté de partager ses souvenirs avec nous sans langue de bois. Et merci à Marylin Clarisse, attachée de presse des Fatals Picards pour Adone Productions, pour la prise de contact.
Photo de couverture – crédits photographiques : Géronimo Potier (kit de communication du groupe)
Cher Rem Coconuts
Je viens de voir que Paris Première déprogramme la pièce. C’est un scandale comme aurait dit Monsieur Georges MARCHAIS!!!
Déjà que la place accordée au théâtre à la télé est beaucoup trop faible à mes yeux, si on commence à déprogrammer les pièces, on ne s’en sort plus en effet !
Moi je les adore et ils ont vraiment etait super…..Merci mon cher Rem de donner des news….De ce groupe multicolore et que j’ adore tant …..Dommage pour leur classement mais une question me taraude comment fait tu pour joindre leur agent si un jour tu a emmanuel moire olivier dion amir ou maximilien phillippe ou anggun tu m’ appelles et j’ arrive pour t’aider lol
Cher Sakis, heureux de te lire et merci de suivre ces entretiens !
Pour les contacter, ce fut assez simple : je suis passé par leur attachée de production par mail et ensuite on a fixé le rendez vous téléphonique. Pour d’autres, je suis passé par des adresses mails dispos sur leurs sites ou par les Messenger personnels.
Pour Manu, Maximilien et Angunn, c’est avec grand plaisir qu’on fera ça à deux ! Par contre s’agissant de ce très cher Olivier Dion, et avec toute l’amitié que je te porte, je crains de ne pas vouloir le partager haha !!!
Ah ah je vois que j’ai encore visé juste en ce qui concerne l’interviewé de la semaine ! Je vais m’empresser, maintenant, de lire l’article !^^
Décidément, tu gagnes à tous les coups (ou presque) ! Ce qui fait de toi la meilleure enquêtrice à ce jour sur notre affaire des devinettes. Suite au prochain épisode !
J’adore ce p’tit jeu… Vivement vendredi prochain !^^
Cher Rem Coconuts
Je recommence mes vidéos il y a eu un problème
https://www.bing.com/videos/search?view=detail&mid=4A3EECA98F2493D455D24A3EECA98F2493D455D2&shtp=GetUrl&shid=f787ab8b-be81-40ab-8aa6-7ccdc6ad0c1e&shtk=TWljaGVsIERlbHBlY2ggJycgVHUgbWUgZmFpcyBwbGFuZXI%3D&shdk=SWwgeSBhIGRlIGxhIG11c2lxdWUgZGFucyBsZXMgaGF1dC1wYXJsZXVycyBUdSBtJ2VtYnJhc3NlcyBhdSBtaWxpZXUgZGVzIGRhbnNldXJzIEV0IGMnZXN0IG1vaSBsZSByb2kgZHUgYmFsIE1vaSBxdWkgbifDqXRhaXMgcXUndW4gcGV0aXQgTWlja2V5IE9oIHnDqSB7UmVmcmFpbjp9IFR1IG1lIGZhaXMgcGxhbmVyIFR1IG1lIGZhaXMgcGxhbmVyIFR1IG1lIGZhaXMgcGxhbmVyLCBvaCB5w6kgSidhaSBiaWVuIHZ1IGxlIGNoYW50ZXVyIGRlIHJvY2sgYXUgYm9yZCBkdSBwb2RpdW0gSWwgdGUgZMOpdmlzYWdlIGF1IG1heGltdW0gTWFpcyBqZSBzYWlzIHF1ZSB0dSB0J2VuIGZvdXMgSmUgc3VpcyBjb21tZSAuLi4%3D&shhk=czub21lVzFD1qq0RJWpORRow03XNYxgPEKjkeoX6etk%3D&form=VDSHOT&shth=OSH.3q4Asiv6fbzIjSYqKsvzng
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Leur position fut plutôt sévère. J’aime beaucoup le mélange de tendresse et de folie de L’Amour à la Française. Et il faudrait m’expliquer en quoi c’est pire que la Lituanie 2006 et la Bosnie 2008 qui ont un registre similaire.
Sinon interview intéressante et c’est une bonne chose que des anciens participants appellent à des chansons alliant pragmatisme et originalité. Comme lui je ne veux pas un retour de Madame Monsieur pour la prochaine sélection.
J’aime beaucoup ce mélange également, c’est un titre que j’écoute et chante régulièrement car j’aime cette patte à la fois atypique et barrée, ce jeu sur les clichés, je trouve le truc très bien fait et franchement, c’est dommage qu’ils aient fini à cette place, qui plus est ex-aequo avec les anglais (dont le titre est mon plaisir coupable, j’assume !).
Je te rejoins aussi : pour moi, il est incomparable avec LT United (pour moi, ça relève du foutage de gueule et je trouve que c’est de la daube absolue, mais ça n’engage que moi) et le titre de la Bosnie 2008 (qui avait aussi cette poésie, ce truc à part, mais dans une autre direction toutefois). Et oui, venant de la part des Fatals qui plus est, avoir une telle vision de ce que la France devrait envoyer est extrêmement intéressant !
Cool l’interview! J’aime bien son discours direct. Il dit ce qu’il aime et ce qu’il n’aime pas et j’aime ça.
J’oubliais de dire. J’aime bien leur chanson par contre, je n’aime pas les costumes créés par JP Gaultier même si je considère que c’est peut-être avec Paco Rabanne, le couturier le plus original. Mais là bof. Je n’avais pas aimé non plus la mise en scène. J’aime le côté déjanté mais là c’était plutôt ridicule. Je reconnais bien volontiers que la frontière est mince et que ce n’est pas évident du tout à réaliser mais je pense que leur vingt-deuxieme place est due à ça et non à la chanson.
Perso, je ne trouve pas la chanson bêbête, au contraire. Je trouve qu’ils assument un truc, un jeu sur les clichés, quelque chose de barré dans le style, une forme de poésie, enfin c’est un titre qui m’a toujours beaucoup séduit, même si le live était peut-être moins ouf. Pour les costumes par contre – bon j’adore le rose et je le surkiffe, je trouvais ça marrant, enfin à l’image de ce que représentent les Fatals.
Par contre, leur retour sur le concours me plaît beaucoup. Surtout que pour un groupe disons « alternatif », ce n’est pas forcément évident de prime abord qu’il ressorte d’une participation à l’Eurovision un regard très enthousiaste ou émerveillé, et pourtant, là il y a de l’enthousiasme, comme il y en a eu treize ans plus tôt. Et je trouve ça super. Parce qu’à côté, d’autres se gênent moins pour cracher dans la soupe.
Voici les liens :
https://youtu.be/fqPHWIriz3o
https://youtu.be/fqPHWIriz3o C’est cette vidéo d’Annie que je t’offre.
https://www.bing.com/videos/search?view=detail&mid=10FF5F2D2554B027F5F010FF5F2D2554B027F5F0&shtp=GetUrl&shid=39aaddc2-6ef6-46b9-bfb7-552ca40ddb60&shtk=Sm9obm55IEhhbGx5ZGF5IC0gRHLDtGxlIGRlIG3DqXRpZXI%3D&shdk=WmVuaXRoIDE5ODQ%3D&shhk=Fm6%2B1b6%2FcB566K5SwRuZLOE0uHyx7G9caaJAhjL%2B23s%3D&form=VDSHOT&shth=OSH.iXayi2ymjKDXJfftiLq2Hg
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Cher Rem Coconuts
J’ai décidé de séparer mon texte des liens qui seront mis en dessous.
Quand je serai ko, Noir c’est noir, tant de titres qui me viennent à l’esprit quand je pense à maman. Son état s’est aggravé. Heureusement, vous êtes d’un précieux secours. En plus, aujourd’hui est enterrée Annie CORDY, sûrement que Michel DRUCKER (qui fête son anniversaire aujourd’hui comme MYLENE FARMER) ira à Cannes pour lui dire un dernier au-revoir. Malgré son echec de 2006, il a toujours son rond de serviette sur France 2.
Fatals : C’EST FATAL de SYLVIE VARTAN
Amour : Si tu me lis bien, j’ai déjà parlé de titres donc en vrac L’AMOUR CA FAIT CHANTER LA VIE, L’AMOUR QUOTIDIEN, L’AMOUR INTERDIT, L’AMOUR EN HERITAGE., L’AMOUR EST BLEU Merci Francis de classer VICKY 2eme meilleure contribution avec « APRES TOI ».
Française Une petite française et Chanson française de CLAUDE FRANCOIS.
Je me rappelle qu’en 2007, les habitants des Dom-Tom qui avaient défendu le groupe des îles contre les Fatals Picards avaient été ulcérés que leurs votes n’étaient pas comptabilisés.
Artistes L’artiste chanson préférée d’Annie CORDY Je suis inconsolable
Pauvre artiste de Jacques MARTIN, Et bonjour à toi l’artiste de Nicole RIEU
Je ne connais pas plus ringard qu’Aldo MACCIONE;
Chanson sur la Chance Je rajoute celle de BOURVIL et dAnnie CORDY. Mais pourquoi le lien est-il si long ?
Chanson sur chanson CHANSON AMERICAINE de CLAUDE FRANCOIS
Décalage Titre de l’album de FRANCOISE HARDY (1988) avec mon titre préféré de l’album « LAISSE-MOI REVER » concocté par ETIENNE DAHO
Anglais Un lord anglais de Joe DASSIN
Jeu Double jeu de Chistophe WILLEM, JEUX INTERDITS la merveille de JANE BIRKIN, c’est sa nouveauté avec encore à la musique ETIENNE et JEAN-LOUIS PIEROT
Cliché BASIM
Les touristes Jean-Claude ANNOUX
Je me souviens Karen CHERYL
Tour Eiffel Paris Tour Eiffel de Jacques HELIAN et son orchestre plus l’émission présentée par JEAN-CLAUDE BRIALY et Zabou BREITMAN diffusée sur Télé Melody pour fêter l’anniversaire de ce monument.
Dix DIX PEUPLIERS de JEAN-CLAUDE PASCAL
Machine L’AMOUR A LA MACHINE d’ALAIN SOUCHON
Hotel HOTEL FM, HOTEL CALIFORNIA des EAGLES et HOTEL DES VOYAGEURS de SERGE REGGIANI. Et par extension LA FILLE DU MOTEL d’EDDY MITCHELL
Première fois TOUTE TOUTE PREMIERE FOIS de JEANNE MAS
Quelque chose (déjà dit) QUELQUE CHOSE DE TENNESSEE, QUELQUE CHOSE de Carla BRUNI, QUELQUE CHOSE ET MOI de Gérard LENORMAN mon Numéro Un de 1988, QUELQUE CHOSE EN MON COEUR d’Elsa.
Monde Le monde est tellement con de Marc LAVOINE, LE MONDE A BESOIN D’ENFANTS de JEAN-CLAUDE PASCAL et Dominique; LE MONDE EST GRIS, LE MONDE EST BLEU d’ Eric CHARDEN
Novices Chanson du film « CHACUN SON HOMME » par Brigitte BARDOT et Annie GIRARDOT
Planer TU ME FAIS PLANER de Michel DELPECH
Nous NOUS LES AMOUREUX, NOUS DEUX, NOUS, CHEZ NOUS (Pour trouver Emilie DEQUENNE aux Grosses têtes, ils ont mis un extrait de la chanson du fils de Michèle ARNAUD.
Pays C’est un pays de Kent et le film d’après Gaël FAYE « Petit pays » J’ai félicité Assumpta collègue au Tribunal et qui est la mère de Gaël.
Métier Drôle de métier de JOHNNY
D’habitude Comme d’habitude, tube intemporel
Playback CARLOS PAIAO Excuse-moi Francis, c’est bien ta meilleure contribution ? Si c’est le cas, c’est chouette.
Planter « Je suis planté » chante Julien CLERC
Guitare THE GUITAR DON’T LIE, C’EST LA GUITARE QUI ME DEMANGE, LES DEUX GUITARES, ME AND MY GUITAR
Fin (Déjà dit) DROLE DE FIN
Dernier Les derniers seront les premiers
CA TELEPHONE, BOURVIL et Jacqueline MAILLAN
Hors Normes Le film éponyme
Société SOCIETE ANONYME D’EDDY MITCHELL et TRUST qui crie Société, tu perds ton sang-froid
Signe FAIS-MOI UN SIGNE, SIGNE DE VIE, SIGNE D’AMOUR et IL SUFFIRA D’UN SIGNE
Il aime autant Conchita WURST qu’il déteste Madame Monsieur. Pourquoi tant de cruauté ?
Il y a une coquille Poupée de cire, poupée de chanson il faut comprendre son
GENS J’AIME LES GENS et AVEC LES GENS DE MON VILLAGE d’YVES DUTEIL
Populaire CHANSON POPULAIRE, POPULAR d’Eric SAADE
Copains LES COPAINS D’ABORD, LE SIFFLET DES COPAINS, TOUS MES COPAINS, et la chanson que j’ai donnée à Zipo AVOIR UN BON COPAIN, Copain copain dit dans la chanson de Michel FUGAIN et Véronique GENEST « C’EST COMME UNE HISTOIRE D’AMOUR » et le magazine SLC
Il n’y a pas que DAFT PUNK bien que je n’ai rien contre eux, il y a INDOCHINE qui fête ses quarante ans de carrière.
Pied UN PIED DEVANT L »AUTRE (Rem, est-ce que tu crois que la guitare que porte JEAN-PIERRE MADER avec dans les choeurs COOKIE DINGLER, père du meilleur ami d’ALEX LUTZ, TOM (il s’occupe de toutes ses mises en scène après le décès de la grande SYLVIE JOLY) et WILLIAM PICARD de DEBUT DE SOIREE, est la même ou approchant que celle de Lucia MONIZ (PORTUGAL 1996) ?. Prends ton temps pour répondre.
Pitié PAR AMOUR, PAR PITIE
Philippe KATERINE est le meilleur chanteur aux Victoires de la Musique, moi j’espère SILVAN AREG parmi les pressentis.
Vatican L’HOMME EN BLANC de PIERRE BACHELET
J’espère une belle continuation pour Les fatals picards et j’ai beaucoup apprécié la participation de DAVE à un de leurs clips et leur chanson sur BERNARD LAVILLIERS;
Ce soir sur Paris Première, il y a une pièce avec Danièle EVENOU et Severine FERRER; C’EST PAS CE QUE TU CROIS;
Comment je vais faire pour parler à ma meilleure amie et collègue qui revient de vacances et qui n’est au courant de rien ? Elle ne l’a vue qu’une fois, aux obsèques de mon père. Je ne vais quand même pas imiter PIERRE REPP !
Mais que de titres à écouter et à (re) découvrir ! Et tellement que je ne connais pas encore. Merci Pauline pour tes partages.
– Une nouvelle fois très excellente interview qui mêle la réalité, l’humour, le sérieux et les souvenirs.
– Paradoxalement, malgré le mauvais résultat, ça a renforcé la notoriété du groupe qui en avait déjà une puisque leur carrière était bien lancée.
– Le concours a été pour eux une parenthèse bienvenue mais pas spécialement un tremplin : ils l’ont fait sans regret, sauf peut-être le résultat décevant, mais ils en gardent un bon souvenir dans l’ensemble.
– Je note surtout qu’ils aiment particulièrement les chansons humoristiques et décalées plutôt que des chansons au texte plus polémique et ambigu et il donne l’exemple de Madame Monsieur, ce que j’approuve.
– Et de façon humoristique, coïncidence : ils parlent du Vatican ! quand les grands esprits se rencontrent… 😆
– Un grand merci pour cette interview passionnante à lire.
Super interview, j’aime beaucoup la franchise et la positivité qui se dégage des propos de Laurent Honel.
Comme lui j’aime l’inclusivité du concours et je pense que Philippe Katerine serait un candidat fabuleux.
J’ai beaucoup aimé ce premier entretien (puisque ça a été le tout premier que j’ai fait début juillet) et j’ai été très agréablement surpris du retour positif de Laurent sur le concours, parce que ce n’est pas l’univers dans lequel baignent d’ordinaire les Fatals Picards – pour ne pas dire qu’il en est à mille lieux. C’est une expérience qu’ils ont aimé, qu’ils assument et qu’ils revendiquent, tout comme leur place à part sur la scène musicale française.
Je le rejoins aussi sur le besoin de toujours ouvrir le concours à d’autres horizons musicaux. Pour ma part, j’ai beaucoup de mal avec Katerine, mais je reconnais la qualité de ce qu’il fait et la touche indéniable qu’il apporte au milieu artistique. Il est très bon, Katerine, très bon.