…reines toujours ! Trois minutes durant, elles ont régné sur la scène de l’Eurovision. Pour les siècles et les siècles, elles conserveront leur couronne de souveraine eurovisionesque. Passons en revue les dernières publications de ces chanteuses qui trônent dans nos cœurs.

Débutons par l’une des plus flamboyantes, la représentante turque 2009, Hadise. Elle traverse le jour et la nuit en chantant et dansant, car dans Geliyorum Yanina, sa vie est une fête.

La représentante saint-marinaise 2011, Senhit, nous offre deux nouveaux morceaux, tous deux en italien, aux vidéoclips léchés. Dark Room nous emmène en club, tandis que Un Bel Niente nous fait traverser Berlin.

La représentante grecque 1993, Kati Garbi, nous ressert son timbre inimitable, en grec et en force dans Phoibos.

La représentante arménienne 2016, Iveta Mukuchyan, continue à sortir des singles à rythme industriel. Elle livre cette fois, avec Im Anush Hayastan, une chanson plus traditionnelle, mais conserve son esthétique unique.

La représentante serbe 2019, Nevena Bozovic, donne enfin suite à Kruna, avec Sanjam, morceau dans la même lignée musicale.

La gagnante maltaise de l’Eurovision Junior 2013, Gaia Cauchi, est devenue une femme et une reine de plein droit. Elle nous revient une question : Why Should I?

L’aspirante polonaise 2016 et multirécidiviste suédoise, Margaret, en revient à sa langue maternelle pour son nouveau single, Ej chlopaku.

L’aspirante moldave 2018 et 2019, Vera Turcanu, reste fidèle à son perruquier et songe fort à Rihanna dans son Umbrele.

Et concluons au paradis, avec la multirécidiviste suédoise (encore une…) Anna Book. Son Heaven est dû à la plume féconde des sœurs Persson. Vous y reconnaîtrez leur patte inimitable…

À la semaine prochaine pour d’autres découvertes !