Enfin ! D’ordinaire plus ponctuelle en la matière, l’UER a cette année attendu début décembre pour nous révéler la liste et le nombre de pays participants à l’Eurovision 2024.
Nous retrouverons donc à Malmö les pays suivants :
- Albanie
- Allemagne
- Arménie
- Australie
- Autriche
- Azerbaïdjan
- Belgique
- Chypre
- Croatie
- Danemark
- Espagne
- Estonie
- Finlande
- France
- Géorgie
- Grèce
- Irlande
- Israël
- Islande
- Italie
- Lettonie
- Lituanie
- Luxembourg
- Malte
- Moldavie
- Norvège
- Pays-Bas
- Pologne
- Portugal
- Royaume-Uni
- Saint-Marin
- Serbie
- Slovénie
- Suède
- Suisse
- Tchéquie
- Ukraine
L’Eurovision 2024 comptera donc 37 pays participants, soit pile le même nombre qu’en 2023 et une nouvelle fois l’un des plus faibles depuis l’instauration des demi-finales en 2004. Alors que le nombre de 41, évoqué par les chefs de délégation française et albanais, avait semé le trouble dans un euromonde attentif au moindre chiffre, ils ne seront finalement pas davantage au compteur.
Au-delà de l’annonce tardive de la liste, qui laissait supposer des négociations en cours entre l’UER et certains pays, plusieurs spéculations de retour font finalement pschiit. Malgré d’insistantes rumeurs, nous ne retrouverons donc pas la Macédoine du Nord (qui semblait pourtant avoir fléché une ligne budgétaire pour l’édition 2024), tout comme ni la Bulgarie ni le Monténégro ne signeront un retour surprise, après deux ans d’absence du concours. De même, Monaco ne sera également pas la surprise du chef, comme annoncé par le nouveau télédiffuseur local quelques semaines plus tôt.
Comme vous pouvez le constater, la Roumanie est pour le moment annoncée absente de l’édition 2024, ce qui marquerait ici son premier retrait depuis 2016 (où le pays avait été disqualifié à quelques jours des répétitions en raison d’impayés à l’UER). Pour le moment, cela laisse sous-entendre que, malgré la spirale de mauvais résultats et les difficultés financières auxquelles font face le pays, des discussions semblent toujours en cours entre l’UER et TVR (le télédiffuseur roumain) afin de permettre à la Roumanie d’être de la partie en mai prochain.
Déjà officialisé en mai dernier, le Luxembourg confirme son grand retour annoncé après trente ans d’absence, offrant ainsi un nouvel allié à la Francophonie. En dépit d’incertitudes initiales, nous retrouverons également sur la grille de départ l’Arménie, ce malgré l’opération militaire azérie au Haut-Karabagh, et l’Australie, qui a une nouvelle fois trouvé un accord de participation avec l’UER. Un nom risque toutefois de susciter la polémique : celui d’Israël. Du fait du contexte géopolitique actuel, le pays fait actuellement l’objet d’une campagne d’appel au retrait et à la disqualification, tandis que plusieurs euro médias de renom ont d’ores et déjà annoncé n’assurer qu’une couverture minimale de la sélection et de la candidature israéliennes à l’Eurovision 2024.
Mise à jour du 06/12/2023 : communiqué du télédiffuseur macédonien
Le retour du pays était très attendu des eurofans, et le fléchage d’une ligne budgétaire de 1,5 millions de MKD (soit 24 328€ environ) dédiée aux concours adulte et junior laissait planer l’espoir. Pourtant, la Macédoine du Nord sera une nouvelle fois absente du grand rendez-vous de l’Eurovision, deux ans après son retrait.
Le télédiffuseur MRT a choisi de s’en expliquer dans le présent communiqué qu’il a rendu public aujourd’hui :
« MRT informe le public quant à sa décision de ne pas participer au concours Eurovision de la chanson l’année prochaine, qui aura lieu à Malmö en Suède. Une telle décision s’inscrit dans l’intérêt des citoyens compte-tenu du fait que, l’année prochaine, le télédiffuseur public sera focalisé sur ses capacités à célébrer son grand jubilé, à savoir les 80 ans de la radio macédonienne et les 60 ans de la télévision macédonienne. Les activités qui marqueront le grand jubilé prendront place tout au long de l’année 2024. MRT diffusera [l’Eurovision], les deux demi-finales et la grande finale sur ses antennes. »
Et si ce n’était que partie remise ?
Mise à jour du 08/12/2023 : communiqué du télédiffuseur roumain
Au tour du télédiffuseur roumain de communiquer sur son retrait – pour le moment non pleinement confirmé – de l’Eurovision 2024. TVR est à ce jour en attente de l’adoption du budget 2024 par le Parlement roumain afin d’avoir plus de visibilité quant à sa possible venue à Malmö l’année prochaine.
Par conséquent, l’UER – avec qui le télédiffuseur est toujours en discussion – a accordé un délai supplémentaire à TVR pour se positionner sur sa participation à l’Eurovision 2024.
Voici le communiqué diffusé par TVR auprès de paginademedia.ro :
« Comme cela a été communiqué, concernant la participation de la Roumanie au Concours Eurovision de la Chanson (ESC) 2024, SRTv n’a pas pris de décision finale.
Nous sommes actuellement en contact avec les organisateurs (l’Union européenne de radiodiffusion – UER) et toutes les options restent ouvertes.
L’UER a accordé à la télévision roumaine un délai pour exprimer son option après l’adoption du budget de l’État pour 2024. »
37 pays participants donc, soit autant d’artistes que nous nous faisons une joie de retrouver sur la scène de l’Eurovision 2024 à Malmö, Suède, en mai prochain, et autant de sélections à retrouver ici même, sur l’Eurovision au Quotidien !
Rappel : conformément au règlement du site (dont vous pouvez prendre connaissance dans l’onglet dédié), L’Eurovision au Quotidien est un site public. (…) Y sont proscrits tous les commentaires et débats de nature politique ou géopolitique, de nature partisane, qui relèvent de la propagande politique ou encore qui relayent des théories du complot ou des fausses informations sous couvert d’authenticité. Idem pour tous les propos appelant à la haine, à la violence, à la ségrégation ou à la discrimination. Les commentaires qui enfreindraient les règles de bonne conduite énoncées ci-dessus, seront immédiatement supprimés. Les lecteurs contrevenant seront placés sur la liste rouge du site, recevront un avertissement et leurs commentaires seront soumis à l’approbation des administrateurs. Les récidivistes seront placés sur la liste noire du site, immédiatement et sans avertissement, et ainsi, définitivement exclus.
Le Luxembourg a participé pour la dernière fois en 1993. L’ année suivante, 7 pays ont participé pour la première fois. Seuls 3 d’ entres eux seront présents (Pologne, Lituanie et Estonie).
L’ absence de la Macédoine, du Monténégro et de la Bulgarie a isolé l’ Albanie et la Grèce. La Bulgarie est limitrophe de 3 pays absents (Macédoine, Turquie qui a participé pour la dernière fois en 2012 et Roumanie). Ce dernier est limitrophe de la Hongrie (dernière participation en 2022) et ce dernier la Slovaquie (dernière participation en 2012 comme la Turquie). La Bosnie a participé pour la dernière fois en 2016 dont c’ est la seule disqualification en finale, la précédente participation date de 2012 mais n’ est limitrophe que de 2 pays qui participent (Croatie et Serbie).
Pour la première fois, on verra le visage du porte-parole luxembourgeois.
L’ absence à la fois de la Turquie et du duo Russie-Biélorussie isole les pays caucasien.
Bravo Ghost Hildly
C’est l’un des plus beaux textes sur le site que j’ai lu. Et si hier, on a décerné le prix de l’humour politique à Edouard PHILIPPE, je te décerne celui du meilleur article géographique. Chapeau bas !
Merci Pauline
J’ai un peu réagi à chaud, avec mon petit bagage loin de l’expertise d’un diplomate en exercice ou d’un spécialiste de géopolitique, mais je m’inquiète pour ce concours. On y tient tous et toutes, chacun à sa façon, et ces retraits me peinent. J’ai appris l’existence de ses pays à l’Eurovision bien avant l’école pour certains d’entre eux. La gamine trop contente d’être capable de dire « Bosnia Herzegovinaaaa » encore en moi se demande quand tous ces pays reviendront. Un rideau, de brique ou de fer, n’est pas tombé pour qu’on installe de nouvelles barrières.
J’espère que mon rapport au concours ne se transformera pas en « Love in Rewind », qu’on chanterait par nostalgie, en pleurs comme à la fin d’un parcours, détachée de cette fête « United by music » (« Unis par la musique ») parce qu’on aura oublié de « Building bridges » (« Construire des ponts ») vers les autres avant d’être unis. C’est un peu ce que je ressens aussi en songeant à ces personnes qu’on côtoyait sur le site et qui ne reviennent plus et qui me manquent aussi.
Dino Merlin écrivait :
« Oh on the surface, oh in the distance
It’s all the same.
Oh, in the darkness, oh don’t you notice
What a different game »
À la fin, ce que je poste, c’est juste mon avis. Un peu mélancolique, c’est vrai. L’eurovision continuera d’avancer dans la direction qu’il aura…
Très triste de voir la Roumanie absente.
Au moins ce n’est pas de la dernière minute comme en 2016, au point où la Roumanie reste quand même sur l’album de cette édition.
Pour moi, toute absence pour raison financière est un peu un constat d’échec.
Croire que l’Eurovision tiendra juste avec la bonne volonté de faire la fête ensemble en musique, c’est, je trouve, un peu naïf.
S’il manque de plus en plus de pays à la fête, et qu’ils sont de plus en plus géographiquement situés dans le même coin, ils vont finir par faire un concours parallèle aussi avec « la bonne volonté de faire la fête ensemble en musique ».
La fracture financière est aussi une fracture géographique et politique, parce que tout est historiquement lié.
Dans ces pays, il suffira d’un basculement au niveau politique pour que ça se transforme en « bye bye » à long terme.
Je pense que si l’Italie avait les résultats de l’Allemagne, ils seraient déjà retournés en hibernation façon année 2000.
Roumanie, Bulgarie, Hongrie, Slovaquie, Bosnie-Herzégovine, Monténégro, Macédoine du nord, ça fait un sacré trou sur la carte ! Une carte qui a ses frontières à la Biélorussie, la Russie et la Turquie.
L’Ukraine tient parce qu’ils jouent leur existence partout où ils peuvent (on attend la volte-face du Congrès étasunien…), la Moldavie est sur la bascule car si l’Ukraine tombe, c’est la grosse crotte.
La Géorgie est dans le même état d’esprit, mais n’oublions pas que si la présidente est pro-européenne, leur gouvernement ne l’est pas. Le duo mortel Arménie/Azerbaïdjan n’est pas là juste pour la musique (sinon ils voteraient bien autrement, mais comment leur en vouloir ????).
Je pense également qu’Israël est dans la même optique et je ne vois aucun point de règlement qui pourrait les faire partir. La seule exclusion « légitime » que l’UER a mise en place c’était pour la Biélorussie qui a envoyé une chanson de propagande peu subtile et a récidivé en interne.
Tout le reste relève du suivi de la politique internationale. Totalement, purement, politique.
Ce n’est pas parce que la Russie essaie de raser l’Ukraine de la carte qu’ils ont été expulsés.
C’est parce que le tout le monde a dégagé la Russie (services bancaires, jeux olympiques, paralympiques et autres compétitions sportives, G6-7-8-20-trucmuche) que le renvoi de la Russie avait un sens (une excuse ?) au niveau de l’UER.
C’est donc pour ça que la Russie est restée malgré le Donbass, malgré la Crimée (2014), malgré l’Ossétie (Géorgie, 2008). Ces années-là, ce sont l’Ukraine et la Géorgie qui se sont retirées, les pays attaqués.
C’est aussi pour ça qu’il n’y a pas de renvoi, de boycott ou autre pour les autres conflits comme ceux qui concernent l’Arménie et l’Azerbaïdjan (y a trop de dates, mais en 2014, y avait des morts, en 2016, y avait des morts, 2020… 2023 les Arméniens perdent définitivement le Haut-Karabagh), et qu’il n’y a et il n’y aura pas non plus de telle mesure pour Israël, conflit encore plus complexe de par les effets dominos qu’il entraîne.
Les enjeux sont bien plus grands que les images qui font l’actualité.
Plus grands que la qualité des chansons envoyées.
Plus grands que les sentiments et ressentiments des eurofans.
Ma crainte, c’est que la carte des participants à l’Eurovision devienne un calque des votes aux Nations Unies.
Car sinon, ces pays qui sont partis ne reviendraient pas avant longtemps.
L’Eurovision ne serait plus une fête ensemble, mais une fête des quelques-uns, donc sans les autres.
Il ne faut pas oublier que l’UER est neutre et qu’elle a presque réussi dans l’ensemble à garder sa neutralité. Je suis politiquement pour les pays attaqués, mais il n’empêche que les chanteurs ne représentent pas leur pays, et que je souhaite le retour de la Russie et de la Biélorussie tant qu’ils n’envoient pas de chansons de propagande bien sûr.
Après il y a eu des rumeurs comme quoi la chaîne israélienne profitait de sa sélection nationale pour y mettre des soldats et des tenues militaires, dans ce cas l’UER peut agir en disant que cette chaîne fait de la propagande d’état.
L’UER est neutre, mais l’UER n’est ni hors sol, ni une œuvre de charité.
Sa neutralité est un principe qu’elle essaie de suivre, après à voir si elle existe dans les faits, comme lorsqu’elle laisse passer une chanson nommée « Si » d’un pays en plein débat sur le divorce (Italie, 1974), mais qu’elle demande à l’Arménie de changer « Don’t deny » en « Face the shadow » durant une année où la Turquie ne participe même plus.
Dans plein de situations, la neutralité de l’UER a posé des questions. Elle en pose encore, et en posera toujours.
Déjà, une bonne chose qu’elle ne prend pas des décisions sur des rumeurs au lieu d’agir sur des faits.
Laissons ça aux amateurs de spectacles médiatiques.
Et s’imaginer que l’UER va y faire quoique ce soit, alors qu’organiser toute une édition dans un pays désigné comme autoritaire et dictatorial n’a posé aucun problème ?
Là, on ne parle pas de soldats dans le public ou les coulisses, mais d’un président qui a :
– casé sa famille jusqu’à la présentation de l’émission.
– rasé des maisons pour que les eurofans et les téléspectateurs puissent avoir leur spectacle préféré du mois de mai, victoire de Loreen de surcroît.
https://www.nouvelobs.com/monde/20120525.OBS6554/fallait-il-vraiment-organiser-l-eurovision-en-azerbaidjan.html
Pas des rumeurs, des faits.
Bonus, l’Arménie qui s’est retirée parce que bon, hein, aller dans un pays où le président dit publiquement que « First, our main enemies are Armenians of the world and the hypocritical and corrupt politicians under their control. » (https://president.az/en/articles/view/4423) ça ne donne pas envie, a eu une amende de l’UER. L’Arménie a littéralement payé parce qu’elle ne voulait pas envoyer ses ressortissants sur un territoire qui les mettrait en danger.
Amende logique car retrait de dernière minute. Décision effectivement apolitique, basée sur des faits.
Ni plus ni moins : des faits, et pas des rumeurs. Pas de l’émotion, pas de sympathique humaine. Action, conséquence, neutralité conforme. (info que j’ai apprise ici même via un article de Betty https://eurovision-quotidien.com/eurovision-junior-2023-presence-de-l-armenie-incertaine/)
Tout comme le Vibdir 2019 qui est resté dans les mémoires pour son côté totalement politique, débouchant sur le retrait de l’Ukraine, non par une décision de l’UER qui aurait pu signaler que bon, c’était un peu limite limite comme finale nationale, mais parce que personne ne voulait signer le contrat de la chaîne de télévision pour participer au concours.
Si avec du recul, les Ukrainiens se seraient bien passés d’une pro-russe comme représentante, la neutralité ici s’est surtout résumée à fermer les yeux.
Alors quid de la neutralité de l’UER après les expulsions russes et biélorusses ?
Elle est revenue à son point d’avant. Et chaque année, on avance dans ce marasme, qu’on oublie ou pas. Mais on ne peut pas se dire que ça n’existe pas en fonction des problèmes qui nous tiennent (ou pas) à cœur. Ce serait presque, si j’ose dire, un manque de neutralité.
Si la liste des participants pour le concours eurovision de la chanson 2024 à Malmö évolue, elle sera mise à jour.
Concernant la Roumanie, évidemment c’est triste de ne pas les voir concourir en Suède l’an prochain….
À se remémorer la sélection haute en couleur, avec des perles, des horreurs inaudibles, des étrangetés locales ahurissantes…. et se voir attribuer un titre grotesque, banal et inintéressant au possible… Aujourd’hui, doit-on s’étonner de l’absence sur les starting-blocks du pays des Carpates ?? Franchement ???
Dans un concours, il faut et il y aura toujours, un premier et un dernier…. Sauf que pour l’édition britannique, le dernier de sa poule de qualification était tout trouvé…. Théodore est certainement sympa…. Mais, dans un concours de chansons, c’est sûrement agréable de rencontrer un artiste sympa mais ce n’est pas forcément ce qu’on peut lui demander en premier…. Tout à la fois catastrophe auditive que visuelle, sa prestation ne me permettait pas, dans la salle, de me réjouir les oreilles à l’écoute…
Aujourd’hui, je suis triste de constater l’absence du télédiffuseur roumain… mais je me dis aussi…. qu’ils l’ont bien cherché !!
Il y a un problème. Pour qui ?? Pour la TVR ou pour nous autres, fans de la compétition ?? Se fichent ils de la compétition, et serions-nous les seuls à nous poser la question ??? On peut s’interroger quand-même…. S’ajoute des problèmes de trésorerie… La coupe est pleine…. A raz bord, comme disait ma grand-mère….. Peut être revenir en 2025 ? Tout est possible….
Concernant Israël, étonnant est de constater le maintien du pays dans la compétition…. Le concours permet de réunir des nations quels que soient la situation de chacun… Le hic, la connaissance de la problématique actuelle par nous tous, là aussi, me pose question….
Je revois encore notre HOD heureuse de France Télévisions préciser à Léa Salamé que le concours est apolitique. C’est joliment dit mais, peut-on encore la croire après le raz de marée du public pour Kalush Orchestra ??? Le titre lauréat est « formidable » mais pour autant de points reçus du public… Ben non, c’est moins jouissif, et très frustrant de voir voler sous les yeux, la victoire britannique promise à l’impeccable Sam Ryder….
Un vote politique, qui fait applaudir un public, mais qui doit forcément questionner dans les couloirs helvétique de l’UER….
Pour en revenir à la nation hébraïque, la question est horrible en soi : ont-ils le droit de s’amuser dans une compétition internationale musicale ???
Pire encore, se poserait on la question s’il s’agissait de participer à une compétition sportive mondiale ????
Je suis entre deux-feux… Et je me questionne sur cette légitimité… l’UER a tranché. Vont-ils tenir bon jusqu’au printemps prochain ??? L’avenir nous le dira…
Heureux de retrouver le Luxembourg… Ça passe ou ça casse…. Le micro pays est un festival à lui tout seul !!! Multiculturelle au possible, un atout à mettre en avant pour le représentant à Malmo. Je crains qu’un mauvais résultat puisse bloquer la participation des éditions suivantes…. Ne partons pas négatifs…
37 pays ? Autant qu’à Liverpool…
La Suède a du pain sur la planche pour égaler les festivités britanniques inoubliables pour moi… Une vraie semaine sainte impeccable !!
Soyons fous… amusons-nous le plus possible…