Tous les mercredis de l’été, un·e lecteur·rice dispose d’une carte blanche et la partage avec vous. Aujourd’hui, c’est au tour de Pauline Halimi d’évoquer la place des enfants à l’Eurovision.

Chers lecteurs,

Le mercredi est le jour des enfants. Cela m’a donné envie de réfléchir sur l’enfance à l’Eurovision.

En 1969, double effet avec la chanson de Frida BOCCARA grande vainqueure même ex-aequo et Jean-Jacques.

Ensuite, il y a eu en 1979, cette chanson espagnole de Betty MISSIEGO inoubliable qui a terminé deuxième et qui a été reprise par les Compagnons de la chanson et par Bruno GUILLAIN, curieusement avec des paroles différentes

Il y a eu aussi SANDRA KIM la seule vainqueure belge même si JEAN VALLEE l’a frôlé en 1978.

En 1989, on a eu droit au couple israélien et à Nathalie PAQUE.

Un enfant a aussi accompagné ses parents danois Hot Eyes.

Et puis, l’UER a décidé de ne plus inclure les enfants à l’Eurovision Adulte.

On a eu droit à de très belles chansons mais pour la postérité, je place tout en haut de l’échelle Ralf Mackenbach et Nikoloz. 

En famille, je n’oublie ni que l’Eurovision Junior 2021 ait été la dernière joie de maman avant qu’elle ne parte, ni le cri strident de Laurène au téléphone en direct de Séville lorsqu’elle a appris la victoire de Maneskin.

Vive l’Eurovision Adulte, vive l’Eurovision Junior, que les enfants qui participent au Junior – enfin certains – fassent leurs preuves à l’Eurovision Senior.

Je voulais rendre par cette chronique rendre hommage à l’enfance, parce que « Le monde a besoin des enfants. »

Merci à Pauline Halimi pour cette première carte blanche ! À mercredi pour une nouvelle, et si vous souhaitez vous aussi devenir le·la rédacteur·rice d’un jour, proposez votre article sur redaction@eurovision-quotidien.com !