C’est déjà fini ! La Saison est déjà finie ! Cela nous laisse tristes et nostalgiques comme Agnetha à la fin de la chanson… Nous sommes à présent hantés par le souvenir de ces samedis soirs d’hiver. Nous sautions de diffusions en diffusions, traversant l’Europe et les fuseaux horaires. Nous étions les rois du monde… Le rideau est retombé sur ces trois mois intenses de sélections et de révélations. Nous connaissons à présent les quarante-trois chansons en lice pour cette édition 2016 de l’Eurovision. Nous voudrions déjà être en mai…
Et si nous en reparlions ensemble de cette Saison ? Bilan et rétrospective, en somme. ABBA a parlé : le vainqueur emporte tout avec lui, le perdant est réduit à rien. Rendons hommage en quatre épisodes à ces glorieux perdants de la Saison. Ils ont combattu, ils ont été vaincus, ils n’ont en rien démérité. Nous leur souhaitons le meilleur dans leur carrière et nous espérons les revoir au plus tôt dans notre galaxie eurovisionesque !
Aujourd’hui : dix pépites pop. Depuis France Gall, l’Eurovision est le royaume des trois minutes efficaces et calibrées, Måns nous l’a encore démontré l’an dernier. Cette Saison fut constellée de morceaux irrésistibles. Voici nos dix préférés, pour lesquels nous avons eu un coup de cœur immédiat et que nous continuerons à fredonner jusqu’à la fin des temps. Nous vous signalons au passage qu’il s’agit d’un choix personnel, qui n’engage que nous et qui peut différer des préférences de nos collègues rédacteurs, Antoine, Eurovista et Nico.
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Albanie – Besa Krasniqi – Liroje Zemrën (Libère ton cœur) – Éliminée en finale
Avouez que vous aimez ça, Noël à Tirana ! C’est un incontournable que nous ne raterions pour rien au monde. Nous n’avons pas été déçus une seule seconde : le Festivali i Këngës a tenu ses promesses. Par où commencer ? Le présentateur affligé de logorrhée, la présentatrice sortie d’un film d’épouvante, les musiciens habillés comme des as de pique, les chefs d’orchestre apprêtés comme pour le Bal du Nouvel An, les artistes égarés dans un univers parallèle (dédicace spéciale à Kristi Popa), les solos de guitare inchangés depuis trente ans, les « dashuri » en pagaille ? Tradition oblige : le vote est parti dans une direction opposée à nos prédictions (nous étions persuadés que ce serait Flaka Krelani ou Klodian et Rezarta). La victoire d’Eneda Tarifa nous a agréés (du moins, jusqu’à cette refonte molle du genou). Seule exception à cette routine : l’une des chansons en lice est entrée dans notre liste de lecture personnelle ! Besa Krasniqi nous a conquis à la première écoute et comme beaucoup de fans, nous avons espéré qu’elle ferait souffler un vent de changement sur une compétition franchement encroûtée. Liroje Zemrën est une chanson douce et poétique. Cela aurait pu être trois minutes de grâce et d’enchantement sur la scène de l’Eurovision.
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Autriche – Elly V – I’ll Be Around (Bounce) – Deuxième en super-finale
Wer singt für Österreich? À cette question, notre réponse fut immédiate : Zoë ! Loin D’Ici se grava dans notre cerveau, dès sa première écoute, au point que nous négligeâmes toutes les autres chansons en lice pour représenter l’Autriche à Stockholm. La victoire de la belle francophile nous comblât, la soirée ne fut pas pour autant perdue pour ses concurrents. Nous tombâmes en fascination pour sa rivale, Elly V. I’ll Be Around nous prit à son charme très eurovisionesque. La prestation vocale et la présentation visuelle de ce morceau nous parurent dignes de la scène du Concours. Nous nous surprîmes à le fredonner sous la douche et à vouloir le réentendre. Nous le téléchargeâmes, nous succombâmes et le voilà parmi nos classiques. Nous en revenons à notre analyse générale de l’Eurovision : une chanson ne prend sens et vie qu’une fois interprétée en direct par son interprète. D’où la nécessité de juger avec indulgence et prudence les versions studio…
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Suisse – Patric Scott – No Boundaries – Éliminé à l’Expert Check
Nous réaffirmons ici notre amour pour la sélection suisse : des heures de rire et de plaisir, à écouter les 36.854 morceaux postés sur son épique plate-forme, à les trier et à les classer. En revanche, nous tirons à boulets rouges sur les experts recrutés. Qui sont-ils ? Que font-ils ? Ont-ils des oreilles ? Publiez leurs noms ! Chaque année, ils massacrent à la sulfateuse nos favoris et qualifient des daubes en conserve. Nous avons été soulagés, cette fois, que nos trois favoris, Elias, Rykka et Patric, soient convoqués à l’Expert Check. Nous nous y attendions : la transposition d’Elephant sur scène s’est révélé une demi-réussite. Nous avons bondi de joie pour Rykka. En revanche, nous avons été terrassés par l’élimination de Patric. Nous l’avions pourtant trouvé très au point et en harmonie avec Abdullah. Pourquoi, maudits experts ? Pourquoi ? Nous restons sans réponse et nous pleurons. Patriiiic…
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Hongrie – Mushu – Uncle Tom – Éliminés en finale
Nous serions prêts à nous offrir corps et âme à Mr. Lordi pour avoir une sélection nationale belge à la hauteur d’A Dal. Du haut vol, de l’excellente musique, des artistes professionnels, une production impressionnante et des éliminations déchirantes, bref, du grand art ! À chaque saison, nous nous emballons pour la moitié des candidats hongrois… et pas seulement parce qu’ils exhibent leur plastique avantageuse (coucou, András). Nous avons en 2016, soutenus en vrac, Bálint Gájer, Gergõ Oláh, Ív, András, son groupe et ses biceps et bien entendu Freddie et son génial Pioneer. Tout comme vous, nous avions pronostiqué sa victoire, nous avons poussé un cri de joie lorsqu’elle eut lieu. Mais au final, à notre propre surprise, c’est Mushu et son Uncle Tom qui mobilisent encore nos oreilles. Nous souffrons de jeunisme, vous le savez, nous aimons leur style, leur attitude, leur musique et leur refrain. Voilà l’Eurovision : une alchimie inexplicable s’est produite entre nous et cette chanson. La rationalité n’y a aucune part, nos collègues froncent les sourcils (une Loreen en colère, tout de même…), nous n’en pouvons mais…
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Lettonie – Ivo Grisnins Glislis – We Are The Light – Éliminé en demi-finale
Le 22 février 2014, aux douze coups de minuit, nous nous sommes juré solennellement de ne plus jamais suivre la sélection lettone. Aarzemnieki venait d’être sélectionné pour Copenhague… Un an plus tard, jour pour jour, heure pour heure, Aminata remportait Supernova et nous nous étions réconcilié avec la Lettonie. La preuve : cet été, nous partons pour Riga. Après six années consécutives d’élimination en demi-finale, l’instauration de Supernova fut la meilleure des décisions de la LTV. Le cru 2016 fut à la hauteur de nos espoirs et de nos attentes. À l’exception notable de Samanta Tina… Deux fonds de tiroir, un travestissement gênant et une sortie idiote… Il aurait mieux valu la remplacer par le castor de l’entracte… Soit : nous étions de tout cœur avec Justs. Nous avons voté en ligne pour sa victoire, nous en avons été récompensés. Nous avons aussi soutenu Marta Grigale et son Choices. Puis l’évidence nous a rattrapés sous la douche (petite musique connue) : nous étions la lumière ! Ivo et sa chanson s’étaient installés dans un coin de notre cerveau. Les paroles sont proches de la tarte à la crème, la partition et la voix d’Ivo enlèvent l’ensemble. Loreen a affiché un tout petit sourire, nos collègues nous ont pardonné…
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Israël – Gil Hadash – Follow The Sun – Éliminée en finale
Follow The Sun est l’Arlésienne de la Saison : il s’agit d’une des rares chansons en lice dans une finale nationale à ne pas avoir été interprétée en direct. Nous l’avouons : nous n’avons pas suivi la sélection israélienne. Nous pensions que comme l’année dernière, le vainqueur se choisirait seul une chanson taillée à sa mesure. Surprise lorsque nous avons appris que les quatre finalistes chanteraient leur morceau sur scène. Re-surprise lorsque nous avons découvert qu’il y aurait trois morceaux pour quatre chanteurs. Re-re-surprise lorsque Gil Hadash s’est fait éliminer avant d’avoir pu interpréter son Follow The Sun, notre préférée parmi les trois. Sentiment d’injustice ! Les surprises allaient s’enchaîner : la victoire d’Hovi, la deuxième place de Nofar pour un tout petit pourcent, les rumeurs de retournement de veste et puis la refonte de Made Of Stars, que nous apprécions beaucoup. Mais plus que les étoiles, nous aurions préféré le soleil…
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Pologne – Margaret – Cool Me Down – Deuxième en finale
Ce fut LE drame de notre Saison ! Nous ne reviendrons pas sur ses détails : vous les connaissez aussi bien que nous. Voici notre analyse personnelle : la victoire de Michal est le reflet de la perception qu’ont les Polonais de l’Eurovision. Comme de nombreuses personnes qui ne suivent pas régulièrement le Concours, ils demeurent figés dans certains stéréotypes. Nous pensons qu’ils ont vu dans le jeune chanteur, l’incarnation parfaite du concept d’Eurovision. Sans doute Margaret leur a semblé ne pas correspondre au moule… Ils se trompaient, bien entendu, car Cool Me Down était ce dont la Pologne et l’Eurovision avaient besoin : un morceau contemporain, dans l’air du temps, prêt à être diffusé en radio. Nous ne jetterons la pierre à personne, surtout pas à Michal : il est demeuré cohérent dans sa démarche artistique. Nous recommanderions en revanche à la télévision polonaise de relire le règlement du Concours et d’instaurer l’année prochaine, un jury pour contrebalancer les votes du public. Et nous supplions Margaret de revenir en 2017, avec une chanson encore meilleure, de remporter cette foutue Krajowe Eliminacje et dans la foulée, la soixante-deuxième édition du Concours…
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Suède – Ace Wilder – Don’t Worry – Troisième en finale
Elle est venue, elle a vu et elle nous a conquis en deux notes, les deux premières de son Don’t Worry. Ace Wilder aura été notre favorite de cette nouvelle édition du Melodifestivalen. Beaucoup d’eau tiède dans la sélection suédoise et nous ne parlons pas que de Samir et Viktor… La plupart des morceaux en lice nous ont semblé un peu fades et formatés, ni mauvais, ni brillants, à commencer par If I Was Sorry à côté duquel nous étions complètement passés… Nous espérions un feu d’artifice de la part de Molly Sandén, nous avons récolté d’une soupe claire. Le reste était à l’encan. A contrario, Ace nous a fait rire, chanter et danser. Ses paroles nous collent à la peau (bien que nous n’ayons jamais embrassé notre patron – Dieu nous en garde, il ressemble à une grenouille imitant un bœuf…). Nous avons dansé sur notre canapé le soir de la finale, croisé les doigts et espéré jusqu’au bout… Nos prières étaient vaines : Frans s’est imposé de lui-même, autre mystère insondable de l’Eurovision… Nous donnerons à Ace, le même conseil qu’à Margaret : revenir avec une chanson encore plus imparable et voler jusqu’à la victoire finale !
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Finlande – Saara Aalto – No Fear – Deuxième en finale
Ce fut LE crève-cœur de notre Saison ! Nous en avons pleuré sur notre moussaka, vous dire le dernier degré du désespoir que nous avions atteint… Dès la révélation des chansons en lice pour l’Uuden Musiikin Kilpailu, nous nous sommes pris d’amour pour Saara et No Fear. Nous chantions en boucle le refrain sous notre douche (oui, nous passons beaucoup de temps sous notre douche…). Nous étions sans crainte : elle s’imposerait facilement. De fait, les demi-finales carbonisèrent vocalement ses concurrents. Nous avions déjà établi notre classement pour la finale : médaille d’or pour Saara, d’argent pour Mikael et de bronze pour Sandhja. Vous voyez : nous avions le tiercé… dans le désordre, hélas ! Nous vous le jurons : nous y croyions dur comme le fer, l’acier et l’airain. Nous avons senti le sol se dérober sous nos pieds au fur et à mesure des votes du jury. Comme nous sommes nuls en arithmétique et en finlandais, nous nous sommes accrochés à une dernière lueur d’espoir, avant de sombrer dans un gouffre sans fin. Nous avons VRAIMENT versé une larme sur notre assiette et sommes allés nous coucher, dévorés par le chagrin. Cela fait la seconde année consécutive que la Finlande nous ruine. Nous supplions l’Yle : payez-vous un jury international !
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Estonie – Laura – Supersonic – Deuxième en super-finale
Il y a cinq catégories de sélections nationales : les médiocres, les passables, les bonnes, les excellentes et puis, il y a l’Eesti Laul. La sélection estonienne surpasse toutes les autres, même A Dal, même l’UMK. La regarder, c’est écouter la musique de demain, c’est regarder la télévision de demain, c’est apprécier l’Eurovision de demain. La richesse des morceaux n’égalent que la richesse des trouvailles visuelles. Tous les genres, tous les effets, toutes les émotions sont parcourues par l’ERR. Par instants, l’Eurovision s’efface pour devenir de l’Art, avec un A majuscule. Nous avons suivi la finale, le souffle court. Quelle sélection, quel niveau, quelle qualité ! Et quelle étrange idée que ces deux présentateurs… Soit, le spectacle se suffisait à lui-même… N’importe quelle victoire nous aurait emballés. Légère surprise à l’annonce des super-finalistes : nous aurions remplacé Cartoon par Mick Pedaja. La victoire de Jüri nous a porté au comble de la joie. Nous avons eu un peu de peine pour Laura : elle aurait tout autant mérité la première place. Qu’elle se console : elle occupe cette première place dans notre cœur et dans notre présent classement. Sa chanson vivra en nous et par nous pour les siècles et les siècles ! Et il y a fort à parier que dans cinquante ans, nous vous casserons encore les oreilles, en vous rappelant à quel point nous l’avions aimé. D’ailleurs, c’est décidé aussi : cet été, avant Riga, nous visiterons Tallin !
Nous vous donnons à présent rendez-vous pour le deuxième épisode de notre série TWTIA : nos dix ballades préférées de la Saison ! À très bientôt !
J’espère que dans les 10 ballades, il y aura Evelyn Zangger, Bianca, Edyta et Brooke. J’écoute encore leur ballade.
Moi, j’aurai rajouté dans ce top : Tom Frantzis, Molly Sandèn, Dolly Style, Nusa Derenda, Mihai, NuAngels, Anja Niessen, Simone et Krista Siegfrids.
Je regrette que Laura, Saara, Margaret, Ace, Besa ne soient pas les représentantes de leur pays.
Cher Anthony,
Sois rassuré, tu retrouveras bientôt Edyta, Nusa et Simone. Mihai aussi, mais cela devrait moins te faire plaisir… Oh, oh, oh, oh, oh, Paradisio (blague belgo-belge uniquement compréhensible pour les nationaux amateurs de parcs animaliers) !
« The winner takes it all », vraiment quelle sublime chanson. Les chansons exceptionnelles sont pour moi celles qui me remplissent d’émotion (joie, nostalgie, folie) dès la 1ère note, et cela a toujours été le cas avec cette chanson (plutôt nostalgie du coup). Sans parler de l’interprétation magnifique d’Agnetha…
Liroje zemren est une très jolie chanson mais si c’est pour subir le même destin que Fairytale, c’est un non merci pointé !
Ace Wilder était ma favorite durant cette finale avec une chanson bien meilleure que Busy Doin’ Nothing. J’ai aussi beaucoup aimé SaRaHa et Oscar Zia. J’espère de tout coeur qu’ils représenteront un jour le pays scandinave. Ils le méritent !
J’ai jamais vraiment aimé Saara et sa chanson, bien trop bizarre et cliché à mon goût.
Pour la Suisse, Holz vd der Hutta reste un de mes guilty pleasures de la saison.
Sinon, ravi de voir que Pauly aime également Mick Pedaja, sa chanson était superbe et aurait été mon douze points. Néanmoins, je vais me consoler avec Greta l’islandaise pour Stockholm.
Cher Alexandre,
Tout n’est pas perdu pour Mick : tu le retrouveras dans le prochain épisode. À très bientôt !
Je pense que chaque année, nous avons nos favoris dans les séléctions nationales et certains pays font effectivement pas le meilleur choix à nos yeux,néanmoins, je reconnais que pour cette saison, qu’il y avaient d’excellentes chansons qui sont passées à la trappe.
Je ne vais refaire tout l’inventaire car les dés sont jettés mais il est vrai que j’aurai préféré que la Pologne envoye Maragaret à Stockholm et Israël Gil Hadasch qui proposait un excellent titre. pour le reste, je respecte les goûts de Pauly et sa bande qui semblent passer beaucoup de temps sous la douche ! mdr, les coquins… Au moins ils se mouillent …
Quand à Patric Scott, lui c’est un peu celui que l’on ne veut surtout pas voir représenter la Suisse à l’Eurovision mais on se demande pourquoi ? Pourtant cet artiste qui tente de percer dans la chanson depuis déjà 10 ans est plutôt doué. Sa chanson « No boundaries » méritait clairement de passer en finale nationale, bien plus qu’un Théo ou encore un Stanley Miller. Cela n’a jamais été dit ouvertement mais pour moi, les jurys ont dû être mandatés pour qu’il soit évincé lors des auditions et finalement, je pense que c’est surtout lié au fait que sa chanson soit interprétée en anglais et en arabe.qui dérangeait plus qu’autre chose. Je ne vois pas d’autres explications.
Quoi qu’il en soit, je ne vais pas refaire le débat sur la sélection suisse mais il y a quelque chose qui cloche, c’est évident.
Et pour terminer, j’aimerais dire à Pauly que pour la Belgique, je trouve vraiment dommage que le choix se soit porté sur Laura, car pour moi, il y avait une seule chanson valable, c’était celle d’Adil, dommage, car avec un peu plus de puissance au niveau du refrain et une remastiratoin musicale qui sonne plus internationale, je pense que nos amis belges auraient pu espérer un meilleur résulat en Suède ave ce titre.
Cher Nico,
Oui, nous aimons l’eau chaude et savonneuse ! Et il y a bien des personnes que nous aimerions inviter sous notre douche… Amir, Freddie, Justs, Sergey… Par contre, nous laisserons Deen se shampouiner tout seul…
Quant au choix belge, nous en avons beaucoup débattu. Tom, Laura et Adil avaient les concepts les plus aboutis. Selon nous, Adil a manqué sa sélection parce qu’il demeurait un peu en retrait, qu’il ne se donnait pas totalement au public. Nous pensons que c’est justement pour cette raison que Laura l’a remporté. Nous prenons rendez-vous avec toi, le 12 mai à minuit. Nous saurons alors si les Belges ont fait le bon choix et si la VRT a donné le meilleur d’elle-même…
Saara Aalto et Margaret, c’est quand même fou… Nous en aurons vu de toutes les couleurs, cette année encore…
J’adore aussi la chanson d’Ace Wilder, bien plus que celle de Frans. Ah, si elle avait présenté « Busy Doin’ Nothin' » cette année, ça ne se serait pas passé comme ça…
Et Gil Hadash, c’est vraiment ultra dommage qu’elle n’ait pas eu l’occasion d’interpréter sa chanson en live. C’est un comble pour une finale nationale! Je reste vraiment perplexe sur le concept de cette finale nationale israélienne…
Quant aux experts suisses, je ne peux qu’approuver hélas. Que se passe-t-il dans leur tête? Mystère…
Je rajouterai dans ce registre pop: Robin Bengtsson, Freddy Kalas, Samir & Viktor (oui, je me surprend moi-même, mais cette chanson est une pure tuerie! 😀 ), Stéphanie Sandoz, Jessica et Maria Isabel.
Je n’ai pas tout suivi des présélections, faute de temps mais je dois bien l’avouer…. de motivation aussi, excepté le MF qui m’est incontournable… (et après mai ce sera le Allsång på Skansen 😉 ) la finale suisse et la Belgique.
Je garderai dans mes playlists la chanson d’Adil et celle de Robin Bengtsson tout comme j’ai gardé le « Keep on walking » de Salem Al Fakir au MF 2010… TOTALEMENT impossible de me passer de cette chanson.
C’est du bonheur l’Eurovision hein 🙂 ♫ ♪ ♫
Je suis désolé , Margaret peut avoir la plus belle chanson du monde tant qu’elle n’améliorera pas ses prestations en direct , elle n’aura aucune chance d’aller à l’eurovision et surtout de gagner le concours!
J’aime la chanson « cool me down » mais en direct elle ne rendait pas aussi bien que ça et Michal szpak a pu s’imposer facilement car il a beaucoup plus de charisme qu’elle. Dommage pour la Pologne!
J’aimais plusieurs chansons suèdoises mais « »if I were sorry » n’était pas ma préférée mais je reconnais qu’elle est sympa mais sans plus après j’aurais préféré en 1 Oscar Zia , en 2 lisa Ajax et en 3 Ace Wilder.
Par contre pour l’Estonie , je suis contente que ce n’est pas laura avec son 3supersonic » qui va à Stockholm , je n’aime pas cette chanson. J’aimais beaucoup Greta Paia avec « Stories Untold » mais je pense qu’elle a raté sa mise en scène , je pensais qu’elle allait faire quelque chose comme sur la photo (sorte de pantin).