Eh bien nous y voici. La dernière série. Non pas avant la fin du monde, mais au moins avant la finale, ce qui ne sera déjà pas trop mal. Et quoi de mieux pour finir en beauté que de vous présenter 15 derniers artistes à départager? Vu le carnage qu’a été la série 3, je me suis dit qu’il fallait une série plus… «««reposante»»». Notez au passage les guillemets; car si la série comporte moins de noms connus, en terme de styles et d’ambiance, préparez-vous aux montagnes russes. La série 4 est énervée, au sens propre comme au sens figuré.
Vous connaissez les règles. Le vote est ouvert d’aujourd’hui à vendredi, minuit. Vous n’aurez qu’à passer par le lien Scorewiz, (et bon Dieu, les nouveaux votants, faites un effort et ne votez pas en suivant bêtement l’ordre de passage! Ça va se voir que votre vote est invalide!). Mais vous, chers habitué qui savez comment voter, vous n’aurez qu’à passer par le lien ci-dessous.
Ceci étant installé, il est temps de vous présenter la dernière quinzaine dans la promo de notre sélection fictive, made in EAQ. Prêts pour les découvertes? Alors en avant!
Théadule – Péter un câble
Une ouverture comme un opening d’anime. En tout cas, c’est le style japonais que Théadule a voulu apporter au morceau que la représente dans notre sélection.
C’est en 2025 que le grand public la découvre dans The Voice ; elle rejoint l’équipe de Florent Pagny après une reprise de Macumba, mais s’inclinera aux Battles face à Il Cello (les vainqueurs de l’édition). Ceci dit, avant le télé-crochet, la chanteuse et comédienne faisait déjà ses armes sur scène; elle a notamment fait partie de la distribution du spectacle Molière : L’Opéra Urbain (dont j’ai appris l’existence aujourd’hui).
Son univers coloré pourrait-il séduire l’Europe ?
Mauvaise Bouche – Comme au Cinéma
L’an dernier, nous avions Mauvais Œil ; cette année, nous avons Mauvaise Bouche: (Soyez attentifs, ne confondez pas!).
Née à paris mais ayant grandi dans le Sud de la France, l’artiste commence la musique avec le piano et le hautbois, avant de créer petit à petit ses propres compositions, qui se font connaître à partir de 2022. Son premier album, « La vie d’adulte », vient tout juste de paraître. La musique de Mauvaise Bouche oscille entre pop, soul et hip-hop, une musicalité hybride sur laquelle elle évoque ses colères, ses espoirs aussi.
Comme dans ce très optimiste « Comme au cinéma », déclaration d’amour en toute sincérité… mais rythmée !
Thérèse / Coeur – Industrie BB
On continue dans notre quête de la diversité musicale absolue, avec un duo détonant qui a des choses à dire. Thérèse, « sino-lao-viet née en France » (pour la citer dans ses interviews) a eu mille vie, du stylisme à la musique. Dans ses influences, on retrouve M.I.A. (figure incontournable et frappante de la scène électro), Die Antwoord (groupe sud-africain aussi sulfureux qu’engagé… et dont les clips pourraient bien vous traumatiser !), Sevdaliza (qui a cartonné l’an dernier avec « Alibi »), ou encore Woodkid (que vous avez honteusement éliminé en série 1 !).
Sa musique se veut libre, militante, métissée et multiple. Quant à Cœur… Pas facile de trouver des infos, si ce n’est que la biographie Deezer indique, je cite : « Diva pirate hardcoeur ». Faites-en ce que vous voulez.
Une chose est sûr : Industrie Bb est un titre électro (qui flirterait presque avec l’hyperpop), tirant à boulets rouges sur l’industrie musicale. Est-ce que la France enverrait un jour une chanson pareille à l’ESC? Probablement pas. Mais est-ce que le duo apporte un côté encore non-exploré à la sélection ? Définitivement ! De là à passer en finale ? À vous de voir !
Aliocha Schneider – Feu de paille
Dans la famille Schneider, je demande le fils. Non, pas Niels. Non, pas Vassili non plus. Mais Aliocha. Celui dont la voix douce a séduit plus d’un cœur depuis le beau succès de l’aigre-doux « Ensemble » en 2023. (Vous pensiez vraiment que je n’allais pas l’inclure, alors que Charlotte Cardin était en série 1 ? C’est mal connaître mon coeur de romantique !).
Un succès qui s’est poursuivi avec l’album Aliocha Schneider, et même une nomination aux Victoires de la Musique. Cependant, l’artiste canadien n’en était clairement pas à ses débuts, ayant déjà à son actif deux albums précédents, sortis en 2017 (Eleven Songs) et 2020 (Naked). Sans compter des rôles en tant qu’acteur, notamment dans la série « Salade Grecque » de Cédric Klapisch.
Pour représenter cet artiste dont j’aime beaucoup l’univers, j’ai opté pour « Feu de paille ». Un moment de douceur en guitare-voix, version française de son morceau « Flash in the pan » (sorti en 2017). Un peu de repos bienvenu après la tornade qui s’est abattu sur vous à la chanson précédente. Les mélodies acoustiques de Vianney ne vous ont pas séduit. La folk d’Aliocha Schneider saura-t-elle le faire ?
Philippe Katerine – Sous mon bob
Vous savez ce qu’on a pas eu en série 3 ? Et oui ! Le… le… le Mood Whiplash! (Maintenant, vous savez à peu près de quoi il s’agit !). On en avait déjà un beau entre Thérèse et Aliocha Schneider, mais quoi de mieux que d’en provoquer un autre, comme dans les montagnes russes. Philippe Katerine. Un prénom et un nom qui promettent le chaos, l’absurde, le « Qu’est-ce que c’est encore que ce délire? ». Son univers est inclassable, indescriptible, mais toujours… surprenant. (Je vous laisse décider si c’est positif ou négatif).
Depuis ses premiers succès avec « Louxor j’adore » ou « La Banane » dans les années 2000, Philippe Katerine s’est imposé comme l’OVNI de la scène française. L’électron libre qui part dans toutes les directions, capable de se déguiser en reine d’Angleterre comme de composer toute une chanson sur le jingle d’un ordinateur qui démarre. Assister à un concert de Philippe Katerine, c’est une expérience qui ne laisse pas indifférent. (Je parle d’expérience, cet été aux Francofolies alors que j’attendais Clara Luciani. Vous n’avez pas non plus pu échapper à sa performance lors des Jeux Olympiques de paris. Nul besoin de vous la décrire… Je sais, vous savez, nous savons. (Il fallait vivre dans une grotte pour passer à côté, tant les images ont fait le tour du net).
Cette année, on a envoyé une chanson sérieuse… et on a reçu 50 points du public, tandis qu’une chanson abracadabrantesque sur l’espresso macchiato a fait un carton auprès du télévote. Et si on tentait, nous aussi, de casser notre image?
Jeck / Carla – À qui le tour
C’est LE duo incontournable des radios en ce moment, avec un petit lien fort appréciable à l’Euromonde. Jeck a participé à The Voice ; si aucun coach ne s’est retourné à l’époque, cela ne l’a pas empêché de persévérer, et le succès est arrivé sous la forme d’un Parapluie.
Carla, elle, n’a presque plus besoin d’être présentée. Révélée dans The Voice Kids, elle représente la France à l’Eurovision Junior 2029 avec l’iconique, que dis-je, l’addictif Bim Bam Toi. (Et on aurait dû gagner cette année-là ! Saleté de running order !). Après le concours et la cinquième place, une vidéo postée par la créatrice JujuFitCats avec cette chanson comme bande-sonore devient virale. (Mine de rien, si la vidéo avait été virale PENDANT le concours et non après, on aurait gagné haut la main! Quels regrets !). Mais avec la viralité, viennent aussi les côtés sombres; les attaques, le harcèlement. Et Carla souhaite alors s’émanciper de cette image enfantine. Car il n’y a pas que Bim Bam Toi dans sa discographie.
Les deux artistes collaborent sur le morceau M’envoler, qui cartonne et bénéficie d’une belle couverture radiophonique. Leur second single ensemble, À qui le tour (qui les représente aujourd’hui), connaît aussi un très beau succès. À tel point que les deux artistes viennent à peine de sortir un album en commun, Oxygène. Ils l’ont dit, ils l’ont clamé publiquement : aller à l’Eurovision les tenterait. Et vous ? Ça vous dirait ?
MDNS – Encore
MDNS, prononcé « Madness », a grandi entre la grisaille et les briques rouges de Lille. Dans la musique, il trouve un moyen de faire briller l’énergie destructrice du désir de s’échapper d’un avenir tout tracé.
Son premier album « Posthume » (c’est le titre de l’album hein; pas son album posthume, ce qui l’aurait rendu inéligible, vous vous en doutez bien) sort en 2024 et pose les bases d’un univers où règnent les Cure et Joy Division.
En 2025, le voilà de retour avec son nouveau single, « Encore ». Un titre brut, empreint d’une énergie punk. Un morceau qui se hurle plutôt qu’il ne se chante. Vous êtes prêts à crier ?
Aude Fy – J’entends tout
Tout commence par une fille qui entend absolument tout chez ses voisins et qui, fort agacée (comme on le serais tous certainement dans une situation pareille!) décide d’exprimer sa frustration… en chanson. Une petite composition originale qu’elle poste sur les réseaux sociaux… et magie ! La vidéo devient virale. Sa plume, entre Anne Sylvestre et Linda Lemay, séduit (et doit rappeler pas mal de souvenirs à certains internautes concernés par le sujet de sa chanson).
Un succès tel qu’elle finit par enregistrer la chanson (qui n’était à l’origine qu’un piano-voix), et même à en faire un clip.
Une jolie histoire des réseaux, pour une artiste dont l’univers théâtral ne pouvait qu’avoir sa place dans « Qui sera votre eurostar » !
Storm Orchestra – Cut Loose (Somehow)
Qui a dit que les français ne savaient pas faire de rock ? Certainement pas moi!
Storm Orchestra, c’est un trio originaire de la région parisienne, composé de Maxime, Adrien et Loïc. Leur son rock alternatif se distingue par une esthétique métallique et rassembleuse, taillée pour les stades (et donc pour de grosses scènes comme l’Eurovision). On les compare à Royal Blood, à Nothing But Thieves, à Muse… Bref : à de grands noms du rock international. Il faut dire que le groupe a fait son entrée en fanfare! Leur premier album, What a time to be alive, sort en 2023, entièrement indépendant; il réussit la prouesse de réunir 4 millions de streams, ce qui ouvre de nombreuses portes musical au trio. Leur second album, Get Better, est paru au mois d’avril cette année, et confirme encore un peu plus leur statut de groupe à suivre.
Branchez les guitares !!!
Florent Pagny – T’aimer encore
Figure populaire s’il en est, Florent Pagny a traversé les générations. Les années 90 avec N’importe quoi ou Bienvenue chez moi ; les années 2000 avec Et un jour une femme, Ma liberté de penser ou Là où je t’emmènerai (cette chanson me mettait un coup de blues monumental, parce qu’elle signifiait que l’on était dimanche sur TF1, et que l’école allait reprendre le lendemain ; les années 2010 avec son rôle de coach dans The Voice (il est, de loin, le coach ayant remporté le plus souvent l’émission avec ses talents).
Et encore aujourd’hui, en 2025, il bénéficie d’une sympathie générale du public, toujours là pour le soutenir à travers les épreuves de la vie. Le voilà de retour après un combat contre le cancer. Son album est sorti il y a peu, porté par le single T’aimer encore.
L’Europe adore les storytellings émouvants. Les phénix qui renaissent de leurs cendres. Et avec Florent Pagny, pas de danger côté vocal. Les jurys se frotteraient les mains. Mais qu’en dites-vous, chez lecteurs de l’Eurovision au Quotidien ?
Gojira – Mea Culpa (Ah, ça ira)
Soyons franc, je souhaitais inclure le groupe dès l’année dernière, mais leur chanson n’était pas encore sortie au lancement de la rubrique. Alors cette année, c’est ma revanche. (D’abord, c’est moi qui décide! J’ai eu les clés de la sélection!). La formation landaise se forme à la fin des années 90, sous le premier nom de Godzilla. Mais pour des raisons légales liées au personnage de Godzilla, l’appellation du groupe change pour devenir celle que l’on connaît aujourd’hui : Gojira.
Leurs premiers albums (Terra Incognita et The Link) posent les bases du death metal mélodique qui les caractérise, beur permettant ainsi de se faire un nom. Mais c’est avec The Way of All Flesh que leur portée va devenir globale. L’album arrive en effet aux oreilles d’un petit groupe pas connu du tout… Metallica. Rien que ça. Conquis, le groupe sollicite notre quatuor landais pour réaliser leur première partie. Et c’est ainsi que Gojira achève de dépasser les frontières et intègre les plus grands noms du métal avec un grand M. L’enfant sauvage, Magma, Fortitude… Les albums s’enchaînent, ravissant les fans… de métal. Mais le grand public, lui, n’est pas encore prêt. Jusqu’à ce soir de 2024. Tandis que Philippe Katerine était nu et peint en bleu dans une corbeille de fruits, un groupe enflammait l’Histoire de France. Littéralement. Marie-Antoinette en soit témoin ! Leur performance (en duo avec la mezzo-soprano Marina Viotti) fait là aussi le tour du monde, offusquant les uns, émerveillant les autres. C’est la première fois dans l’histoire qu’un groupe de métal performe aux Jeux Olympiques. (Et ça s’est passé chez nous ! Cocorico !).
Du métal français à l’Eurovision… et si c’étais le moment de s’y mettre ?
Amir – Nous
Lorsque les rumeurs ont circulé sur un potentiel retour de Loïc Nottet pour 2026, je me suis fait une réflexion. Et si, 10 ans après, Amir revenait tenter l’aventure pour la France ? Rien que pour la beauté symbolique du geste ? Marco Mengoni l’a bien fait en 2023, et ça lui a réussi, en plus!
Amir, vous le connaissez évidemment. Révélé dans The Voice, il est choisi en 2016 pour nous représenter avec J’ai cherché. Engouement général, statut de favori, pour une très jolie 6ème place, inespérée après avoir enchaîné déconvenue sur déconvenue au cours des années précédentes. L’aventure Eurovision propulse la carrière d’Amir (preuve que ne pas gagner à l’Eurovision peut aussi booster des carrières et non pas automatiquement les ruiner), et les succès s’enchaînent, d’albums en singles. 10 ans plus tard, Amir est bien installé dans le paysage musical français, et toujours apprécié. En 2024, c’était même sa voix qu’on entendait sur les jingles pub des JO. (Avouez, vous chantonnez encore parfois « On va réussir, on sait comment » quand vous repensez à Paris 2024⋯).
Alors voilà, Amir est là pour la beauté du geste. Lui accorderez-vous une place en finale avec son dernier single, Nous ?
Léman – Les Étoiles
Et encore un retour! Léman avais atteint la finale avec le très théâtral JVQTSM (et son texte que je trouve toujours aussi génial, un an après). Son pseudo, il le tient du lac Léman auprès duquel il a grandi, à la frontière entre la France et la Suisse. Léman a toujours voulu faire de la musique, bercé entre Ac/ Dc et Radiohead.
Il participe à The Voice (la saison 6), puis tisse sa carrière au fil des compositions. Sur les réseaux, il ne tarde pas à gagner une solide fanbase grâce à ses chansons… et grâce à une reprise virale de La danse des canards en mode mélodramatique qui a piégé même les américains! Léman a un goût prononcé pour le storytelling. Chacun de ses textes porte un message, ou pose au moins un contexte précis qui se déroule sous nos yeux en une mélodie. Après un EP (On est Plein), l’artiste annonce son premier album, « Adieu musique », qui lient tout juste de paraître.
En attendant, la finale lui ouvrira peut-être à nouveau ses portes avec « Les Étoiles », morceau dont l’esthétique pop-rock fait un beau contraste avec la mélancolie de ses paroles.
Tip Stevens – Emperor
ATTENTION ! ATTENTION ! Elle est là, ma chanson gagnante personnelle de la sélection. Un titre qui, pendant ses cinq minutes, m’a asséné claque sur claque. Un titre qui ne vous laisse pas indemne de par son intensité brute et clivante. Vous aimiez Gladiator de Jann en 2023 ? Voici Emperor, sa version radicalement plus sombre, son alter ego made in France.
Tip Stevens, quant à lui, est un véritable touche-à-tout musical qui passe de l’électro au rock comme on clignerait de l’œil. Petite particularité : ses EPs sont tous nommés d’après un animal, de l’éléphant au quetzal en passant par les luciole ou le raton laveur. C’est sa marque de fabrique.
Alors êtes-vous prêts à entrer dans la jungle de son univers ?
Julien Lieb – Autrement
Vous ne trouvez pas qu’il manque quelque chose dans cette série ? Mais oui ! Le quota « Star Ac » n’a pas encore été rempli ! Après Lenie, Ebony, Marguerite, Marine et Enola, c’est Julien Lieb qui clôture cette série. Finaliste face à Pierre Garnier en 2024, il aura marqué les esprits par sa voix taillée pour les classiques de la chanson françaises, et… Les cathédrales !
Il mène désormais une jolie carrière prometteuse. Son premier album, Naufragé, est sorti le mois dernier, porté par le tube Autrement. Une ballade sentimentale au refrain puissant, idéale pour une sélection comme la nôtre. De quoi conclure en beauté cette série mouvementée!
Julien rejoindra-j-il Marguerite et Enola, seules académiciennes à avoir atteint la finale cette année ?
La playlist Spotify
La playlist YouTube
Eh bien nous y sommes. Voilà. Le casting de « Qui sera votre eurostar ? » n’a plus aucun secret pour vous. Écoutez, découvrez, votez, et commentez sur vos préférés de cette quinzaine riche en diversité.
Rendez-vous samedi pour les résultats, avant une grande finale qui promet d’être riche. À tantôt !
Crédit image : eurovision-quotidien.com – tous droits réservés









Mon vote ne veut pas marcher. Je l’ envoie par message. Je donne:
1 point: Théadule.
2 points: Léman.
3 points: Aude Fy.
4 points: mauvaise bouche.
5 points: Thérèse/coeur.
6 points: Amir.
7 points: Julien Lieb.
8 points: Florent Pagny.
10 points: Alliocha Schneider.
12 points: Jeck/Carla.
Pour cette série, ce serait les chansons se suivent et ne se ressemble pas. Il y a eu à une ou 2 exceptions près une alternance de chansons que j’ aime et d’ autres pas. Mes 2 préférées ne sont pas passées l’ une après l’ autre mais encadré une que je trouve nulle.
Série très intéressante dont je fais deux listes : les « j’aime (voire j’aime beaucoup) » et les « mouais, mais pour le Concours ça peut le faire »!
Dans les découvertes plus qu’heureuses, Tip Stevens et MDNS ! C’est avec des propositions comme celles là que j’aime cette rubrique.
Gojira, Aliocha Schneider et Léman, dans des genres très différents ne sont pas des inconnus pour moi et j’aime beaucoup leurs morceaux (et d’autres…)
Mais pour une participation au Concours, pourquoi pas un bis d’Amir (rien que pour faire bisquer les haineux!) ou une sélection de Julien Lieb, Jeck &Carla, Storm Orchestra ou Mauvaise Bouche . Concernant ces 4 derniers, pour mon goût, c’est un gros « bof » mais avec un bon titre, pourquoi pas, mais en visant un top 10 seulement.
J’ai adoré cette série, et merci pour les découvertes ! Si je connaissais Théadule, MDNS et Storm Orchestra grâce à Instagram, j’ai pu avoir d’autres coups de coeur (Tip Stevens en particulier). Heureux de revoir Léman qui était un de mes préférés de l’an dernier.
PS : la comédie musicale Molière a eu un hit avec « Rêver j’en ai l’habitude » et a Lou comme une des actrices, ex enfant star et voix de Ladybug dans Miraculous
Coucou Juliette,
Ici, je reste discrète.
Je pense et panse mes plaies, avec une participation parcellaire à travers ces pages de bits et de lumières. Je réfléchis sans vraiment revenir, sans vraiment partir.
Mais je lis.
Et j’écoute parfois.
J’apprécie cette découverte de Tip Stevens. Un mélange entre Emperor, pour l’instru et la dynamique, avec la mélodie et mélancholie de Malheureuse d’Enola Cox serait une chouette et intéressante proposition pour la France, de mon point d’ouïe et de vue. Un vœu vain, j’assume de ne pas y croire. Toutefois rêver ne coûte rien, à part quelques douleurs sur les plaies ouvertes au réveil.
Je ne voterai pas, à l’instar des séries précédentes.
Mais je lis.
Et j’écoute parfois.
Discrètement.
G.H.
A voté yyeahhh !
Gojira au concours ça aurait de la gueule. Mais P. Katerine aussi …
J’adore Alliocha Schneider et le suis depuis ses débuts, mais pour le concours je doute que ce soit un choix judicieux.
Sinon j’aime beaucoup cette série, merci Juliette !
Deux fois helas. Il y a deux coquilles. NOTTET et pas Notet et Linda LEMAY au lieu de Le Mai.
J’ai ete conquise par Mauvaise bouche que je place dans mon quarte. Par contre, je deteste Gojira et Marina Viotti et surtout Tip Stevens.
Merci pour ces decouvertes et confirmations.
On a des goûts complètement différent