Pour fêter les 15 ans de la rédaction, l’équipe de L’Eurovision Au Quotidien a décidé de vous présenter le top 15 de chaque rédacteur et rédactrice de ces 15 dernières années incluant celle de 2020 (annulée pour cause de Covid 19). Aujourd’hui, c’est Maxence qui fait son retour exceptionnellement pour vous partager ses chansons préférées.

Voilà 15 ans que l’EAQ a fait son apparition. 15 bougies à mettre sur un gâteau, chaque bougie correspondant à tout autant de figures emblématiques et de moments iconiques que d’eurodramas aux caractères parfois sulfureux, parfois étonnants, parfois agréables, parfois inattendus. Tout cela, notre cher concours les a vécus, les a portés. L’EAQ aussi par écho, encore et toujours au poste pendant quinze riches années. Ce site a illuminé mes années Eurovision, m’a porté dans la naissance de ma passion qui remonte déjà à 2017 avant de m’accueillir au sein de son équipe de rédaction en 2020 pour 4 belles années. J’y ai vécu les hauts et les bas de la vie d’un rédacteur – et oui, ce n’est pas le monde des bisounours – mais quelle belle expérience ce fut. Je maintiens un réel attachement à ce site qui m’aura fait grandir dans plein de domaines.

Alors quand l’équipe de rédaction vient vers moi pour un article commémoratif, à travers la lumière de chacun des rédacteurs qui ont porté ce site, la réponse était évidente : « bien sûr que je vais le faire ce top 15, j’arrive, je cours, je suis là ! ». Rebonjour tout le monde, lecteurs qui m’ont connu comme nouveaux lecteurs, je suis heureux de vous voir tous.

Alors rentrons dans le vif du sujet ! Ou pas ? Je veux prendre un temps pour vous expliquer comment j’ai fait mon top 15 parce que « diable, qu’est-ce que cela veut dire de mettre ses 15 chansons préférées des 15 dernières années ? ». Ça parait simple en apparence mais je rencontre un problème, cela ne représente pas la façon dont j’ai vécu ces dernières années en tant qu’eurofan. Il faut savoir que j’ai des goûts musicaux très mainstream alors côté originalité, on repassera… Mes chansons préférées, celles que je réécoute encore et encore, ce sont les mêmes que tout le monde finalement. Ce ne sont pas nécessairement celles qui m’ont le plus surpris, le plus marqué, le plus fait vivre d’émotions sur l’instant même, quand nous sommes dans l’euphorie de la découverte des répétitions et des performances des grands soirs. Ce sont ces chansons là que j’ai décidé de mettre en avant dans ce top 15. 

Pour cette raison, de nombreuses chansons passent à la trappe mais sans oublier de recevoir leurs mentions honorables que voici :

– 2010 : We Could Be The Same (Turquie), OPA (Grèce), Satellite (Allemagne)

– 2011 : I Can (Royaume-Uni), Da Da Dam (Finlande), 

– 2012 : Euphoria (Suède), Suus (Albanie), Kuula (Estonie)

– 2013 : Only Teardrops (Danemark), I Feed You My Love (Norvège)

– 2014 : Something Better (Finlande), Running (Hongrie)

– 2015 : Grande Amore (Italie), A Monster Like Me (Norvège), Goodbye To Yesterday (Estonie)

– 2016 : You Are The Only One (Russie), If Love Was A Crime (Bulgarie), J’ai cherché (France)

– 2017 : City Lights (Belgique), Origo (Hongrie)

– 2018 : Fuego (Chypre), Bones (Bulgarie), Together (Irlande)

– 2019 : Soldi (Italie), Proud (Macédoine du Nord)

– 2020 : On Fire (Lituanie), Alcohol You (Roumanie)

– 2021 : Dark Side (Finlande), Tout l’Univers (Suisse), Love Is On My Side (Portugal)

– 2022 Give That Wolf A Banana (Norvège), Hold Me Closer (Suède), River (Pologne)

– 2023 : Due Vite (Italie), Carpe Diem (Slovénie), Aijā (Lettonie)

– 2024 : Europapa (Pays-Bas), Doomsday Blue (Irlande), The Code (Suisse)

– 2025 : maman (France), Milkshake Man (Australie)

15- Salvador Sobral – Amar Pelos Dois (Portugal 2017)

Ce top débute sur la même année que la naissance de ma passion pour l’Eurovision. C’est en 2017 que j’ai commencé à m’intéresser réellement à l’Eurovision, à coups de vidéos statistiques et de revival sur YouTube d’anciens Eurovision, avant de tomber dans la potion magique. Et quelle étonnante histoire pour commencer que la première victoire du Portugal, après des décennies de disette et des résultats plutôt pauvres. Amar Pelos Dois est passé de la chanson qui n’avait même pas retenu mon attention lors de sa sélection à l’évidence même le grand soir. La chanson a détruit directement ma vision jeune d’un concours où la performance la plus spectaculaire gagne (j’avais couronné la Russie l’année précédente, édition 2016 regardée sur un replay…) pour mon plus grand plaisir et ma plus grande surprise. Une belle leçon d’authenticité et une ballade qui me touche, en faisant l’une de mes chansons préférées de l’Eurovision. Chapeau bas, Salvador Sobral.

14- Tom Dice – Me and My Guitar (Belgique 2010)

2010 est l’une des premières éditions que j’ai écoutées lorsque je me suis décidé de plonger dans le passé de l’Eurovision. Quelle ne fut pas ma surprise de voir la Belgique obtenir un bon résultat cette année-là, encore plus que le nom de son interprète ne m’était pas inconnu. En trente secondes, j’étais complètement emporté par cette chanson qui tranchait avec le reste de son édition par sa simplicité. Tom Dice, lui et juste sa guitare qui montrent qu’on peut rester dans la tête des gens – en tout cas la mienne – avec juste la magie de l’instant. Un regard, une accroche du début jusqu’à la fin, et une ambiance chaleureuse qui me fait du bien au cœur. 

13- Slimane – Mon Amour (France 2024)

Je me souviens encore de ma grande joie lors de l’annonce de la sélection de Slimane. Un artiste aussi ancré dans la scène musicale française actuelle partir à l’Eurovision semblait être un rêve éveillé. J’ai toujours été emporté par la couleur de sa voix. Mon Amour est ensuite devenu une évidence dès la première écoute, je l’écoutais plusieurs fois par jour. Et puis est venu ce moment a capella à quelques mètres du micro qui me fout les poils, sur une performance millimétrée mais tellement puissante dans ses jeux avec la caméra. Je savais bien que nous ne gagnerions pas, j’avais prédit une 4ème place à la Marco Mengoni. Mais de voir les points tomber tant du côté du jury et du public dans une édition très relevée m’a rempli d’une très grande fierté en tant que français.

12- KAJ – Bara Bada Bastu (Suède 2025)

Si vous m’aviez dit que la Suède enverrait une chanson en suédois cette décennie, de surcroît un joke act, je ne vous aurais jamais cru. Est-ce réellement un joke act ? J’aurais tendance à utiliser le terme de fun act tant Bara Bada Bastu montre le parfait équilibre entre fun, humour et compétitivité. Les trois membres de KAJ ne se prennent pas au sérieux mais sans tomber dans le ridicule. Ils dégagent une telle ambiance amicale et barrée, soutenue par une mise en scène génialement pensée. Je voulais les voir gagner dès leur prestation au Mello, j’ai revu et revu maintes fois leur prestation, maudit les paroles qui me restaient en tête et les voilà en train de gagner mon Eurovision 2025. Sauna !

11- Diodato – Fai Rumore (Italie 2020)

Parlons de choses qui fâchent. L’annulation de l’Eurovision 2020 a été un coup dur à encaisser, pour moi comme pour beaucoup d’eurofans. Si 2020 n’était pas à mon sens la plus relevée des éditions, j’étais attachée à certaines chansons que je voulais voir prendre vie sur scène. Fai Rumore en faisait partie, me touchant profondément par son histoire et la fin d’un amour. Que voulez-vous, je suis un romantique ! Mais elle restera gravée réellement car elle a transcendé son sens premier. Chanter « Je ne peux plus supporter ce silence anormal » en plein confinement, au milieu de l’arène de Vérone, alors que je suis devant ma télévision en famille à faire le deuil d’un Eurovision qui aurait dû avoir lieu ce même soir, remplacé par une émission spéciale qui ne comblera jamais le manque… Pas besoin de mots, nous nous comprenons. Merci, Diodato.

10- Käärijä – Cha Cha Cha (Finlande 2023)

La Finlande n’a pas un palmarès mirobolant dans ma rétrospective Eurovision, avec un joli nombre de dernières places et généralement des mauvais résultats à l’instar de l’Eurovision. Alors quand une chanson finlandaise réussit l’exploit de m’emporter, je m’y accroche. Elles sont peu nombreuses et Cha Cha Cha ne se contente pas d’en faire partie, elle amène la première victoire finlandaise après plus d’une soixantaine d’éditions écoutées et évaluées ! Victoire par KO pour Käärijä au travers de sa folie vert fluorescent. La mise en scène est juste un coup de poing, c’est génial, c’est assumé, c’est fun, c’est entrainant, et ironiquement authentique. Comment ne pas crier Cha Cha Cha ? Mes amis me le ressortent encore en tout cas !

9- Rasmussen – Higher Ground (Danemark 2018)

« Papa, maman, réveillez-vous, il y a des vikings sur scène ! ». C’est ce que j’aurais dit si j’avais 8 ans à ce moment-là. Sauf que j’en avais 20… J’avais l’impression de redevenir un petit enfant émerveillé devant la prestation de Rasmussen. Pour moi, c’est la représentation par excellence du mot « épique ». La marche viking, les looks féroces, Higher Ground et ses paroles clichées complètement dans le genre aventure, la tempête de neige à la fin, c’était trop pour mon petit cœur qui tremblait d’excitation ! Ça aurait pu être la bande son officielle d’une série viking et j’adore ça !

8- Marco Mengoni – L’Essenziale (Italie 2013)

Cette performance est l’élégance par excellence, un stéréotype parfait de l’Italie que j’affectionne tant au sein de l’Eurovision. Stéréotype, oui, mais qui ne se complait pas dedans et qui en ressort une réelle authenticité. Tout s’agence parfaitement : Marco Mengoni qui est l’homme italien de mes rêves (oui, bah, désolé, son physique est un atout), son costume d’un vert d’une grande classe et représentative de la haute couture italienne, la simplicité de la mise en scène qui repose entièrement sur son artiste à juste titre et surtout la chanson qui sonne parfaitement, embrassant les douces sonorités italiennes. La haute note juste avant le dernier refrain me chope les poils à chaque fois tant Marco semble y jeter ses tripes. Je suis tellement un mordu des ballades italiennes que L’Essenziale coche toutes les cases. Elle revient de temps à autre dans ma tête (et dans ma playlist). Ou alors se cacherait-elle une douce obsession pour Marco Mengoni ? J’ai vraiment failli mettre Due Vite dans ce top 15 aussi, oups…

7- Windows95man – No Rules! (Finlande 2024)

Je suis un eurofan. Et je regarde l’Eurovision aussi pour ce genre de prestations complètement barrées ! Comment pouvez-vous ne pas me dire que cette performance est du génie ?! Le jeu de caméra est absolument excellent, le côté humour décalé est complètement assumé et apporte tellement de crédit à une chanson qui l’est tout autant. Franchement, j’aimais déjà No Rules! puis j’ai éclaté de rire lors de la performance en demi-finale donc l’excitation était à son comble en finale. Mais quand ton meilleur ami qui se décide à regarder pour la première fois l’Eurovision avec toi finit bouche bée les trois secondes et adore, tu te dis « voilà la magie de l’Eurovision qui arrive à donner le sourire à tout le monde ! ». Un moment à jamais gravé dans ma tête. Sans oublier le fond de cette chanson qui endosse complètement le fait d’assumer sa singularité et qu’elle est tout aussi valable et riche que celle des autres.

6- Amanda Georgiadi Tenfjord – Die Together (Grèce 2022)

Il y a de ces voix qui s’élèvent tellement qu’elles vous touchent en plein cœur ou vous font ouvrir grand les yeux. Amanda est de celles-ci, portée dans l’écrin qu’est Die Together qui met complètement en avant sa voix, jouant pertinemment entre silences, a capella et notes hautes. La mise en scène vient jouer sur cette intimité propre à la chanson, mettant en avant les émotions contradictoires qui se jouent entre la beauté et l’amertume de l’amour. Quelque chose est cassé dans cette performance, à l’image des chaises qui se fondent dans le sol, cela me touche profondément. Et vient l’instant de l’envolée vocale finale, très pure, qui me fait écarquiller des yeux et me rend bouche bée à chaque fois, immanquablement. Un top 10 à la hauteur de son nom de famille.

5- Conchita Wurst – Rise Like A Phoenix (Autriche 2014)

Conchita Wurst représente mon tout premier souvenir de l’Eurovision. Je me souviens encore de ce jour, assis dans le canapé du salon, du haut de mes 16 ans à lire le programme télé et à lire un carré obscur dans un coin de la page annonçant la victoire de Conchita Wurst de l’Eurovision. Je me souviens d’avoir eu trois réactions. Tout d’abord, une agréable surprise de voir une drag queen remporter un concours international de chansons, ce qui représente une avancée dans l’ouverture d’esprit de la société. Ensuite, le titre qui me parlait car le Phoenix était et est toujours mon animal favori bien qu’il soit mythique. Et enfin, une très grande curiosité : « Mais c’est quoi ça l’Eurovision ? Qu’est-ce qu’ils nous ont sorti encore comme émission ? ». C’est la première fois que j’entendais ce terme et j’ai appris son existence de cette manière sans finalement en être plus intéressé après une brève recherche Wikipédia. Si j’avais su que j’y mettrais pleinement les pieds 3 ans après… Et finalement, c’est pour cette symbolique qui se retranscrit dans la performance de Conchita Wurst sur un excellent Rise Like A Phoenix qui me fait toujours autant aimer et réécouter cette chanson on ne peut plus iconique.

4- Hatari – Hatrið mun sigra (Islande 2019)

Est-ce nécessaire d’expliquer pourquoi cette chanson m’a autant marqué ? Les visuels, l’identité du groupe, la thématique on ne peut plus suggestive, c’est un gros coup de pied dans la boule Eurovision. Cela aurait pu en rester là étant donné que c’est le genre de chansons qui peut complètement détourner le public. Mais ce n’est absolument pas le cas, j’adore Hatrið mun sigra par ses sons électro-industriel, par ses paroles déconcertantes, la contradiction vocale des deux interprètes, sa mise en scène léchée et apocalyptique. C’est tellement un ovni au milieu des ovnis. J’adore, j’adore, j’adore !!! Je me souviens encore de mon sourire malicieux devant les regards surpris de ma famille avant d’éclater de rire durant les trois minutes de performances.

3- Zoë Më – Voyage (Suisse 2025)

Cette chanson demeure peut-être ma plus grande surprise de ces quinze dernières années. Je me souviens de mon indifférence totale de la première écoute, et des dizaines suivantes, à la claque littérale lors du live en demi-finale. Voilà que je voulais voir un pays faire la passe de deux sans même que je m’y attende une seule seconde. L’émotion à fleur de peau qui se retransmet dans la voix de Zoë Më, simple pure et brute, prend tellement d’ampleur dans cette mise en scène artistique. J’avais oublié que c’était l’Eurovision, j’en avais oublié même le temps, j’avais l’impression de voir une scène de cinéma. C’était captivant jusqu’au début jusqu’à la fin, j’aurais pu gober des mouches que je n’aurais même pas réagi tellement j’étais accroché à la prestation. Le jeu de lumière parfait du début jusqu’à la fin ? Et cette accélération du rythme finale avec ces angles de caméra qui basculent ? Absolute Cinema !

2- Barbara Pravi – Voilà (France 2021)

Il fallait bien que Barbara Pravi soit là. Pour la première fois de ma vie en tant qu’eurofan, j’ai eu une évidence pour notre chanson française lors de la performance live à C’est vous qui décidez ! C’était LA chanson, celle qui peut nous faire gagner réellement l’Eurovision. J’en étais persuadé, j’en étais tout remué car je croyais pour la première fois en une possible victoire jusqu’au bout, jusqu’à la grande finale. Voilà est une chanson authentique, qui se jumelle tellement avec son interprète, avec une identité résolument française sans être clichée et avec un message qui rayonne dans la voix et l’interprétation. Quel temps incroyable en tant que français que de voir autant de gens se rassembler autour d’une chanson, quelle fierté d’être représenté de la sorte. J’ai aussi peu respiré pendant une performance en finale, priant que Barbara Pravi reste parfaite à l’image de toutes ses prestations antérieures. Et elle a été plus qu’à la hauteur. Une émotion brute, un soulagement infini et un espoir tellement grand.Juste pour ces émotions, merci infiniment Barbara Pravi de m’avoir donné envie de croire que nous gagnerons prochainement car nous en sommes effectivement capable.

1- Duncan Laurence – Arcade (Pays-Bas 2019)

Arcade, c’est l’évidence même, c’est le coup de foudre à la première écoute. Je savais directement que nous tenions la chanson gagnante. Et surtout ma chanson gagnante sans le moindre doute, à des années-lumière devant ses concurrentes. Je me souviens encore de m’être dit que j’espérais que les Pays-Bas ne nous rattraperaient pas avec leurs 4 victoires. J’ai complètement balayé ces réflexions dès que j’ai découvert Arcade. J’ai défendu la chanson bec et ongles jusqu’au bout. Il y a une intonation dans la voix de Duncan Laurence qui m’émeut, avec un côté très mélancolique que j’affectionne énormément. C’était une plongée en eaux troubles à l’image du clip qui me faisait oublier ce qui se passait autour de moi et me faisait vivre pleinement l’instant présent. La performance live sublime tout cela. Duncan Laurence se livre complètement sur scène, c’est lui et juste lui dans sa forme la plus brute. Heureusement que vous n’étiez pas avec moi lors de la victoire des Pays-Bas, vous seriez sourd à ce jour tellement j’ai crié de joie. J’avais beau écouter la chanson pour une éternité de fois encore après sa victoire, j’avais immanquablement les poils et je me demandais comment une chanson peut autant remuer de l’intérieur. C’est simple, Arcade est ma chanson préférée de tout l’histoire du Concours. Mon Number One sur les plus d’un millier de chansons qui ont foulé la scène de l’Eurovison.

Nous y voilà, 15 chansons pour 15 ans d’Eurovision et de l’EAQ. J’espère vous avoir fait voyager un peu dans le passé, en particulier mon passé par cette histoire sur ma passion pour l’Eurovision. Je suis curieux de voir si vous partagez certaines chansons en commun avec moi, notamment celles qui sont moins communes dans la communauté eurofan. Il est l’heure pour moi de vous quitter de nouveau même si je ne suis jamais bien loin, regardant silencieusement les actus et réagissant à l’occasion. Chers lecteurs, je suis heureux de vous avoir rencontré encore une fois. Je remercie aussi l’ensemble des rédacteurs de l’EAQ pour ce beau moment de partage rendu possible à travers cet article « surprise ». Passez de très belles journées ensoleillées !

C’était donc le top 15 de Maxence ! Rendez-vous la semaine prochaine pour découvrir le top 15 des 15 ans d’un nouvel invité.

Crédit photographique : EAQ / Vidéos : Eurovision TV sur YT