La marmite à candidatures bouillonne en Grèce également. Les interprètes potentiels débordent d’un peu partout et enflamment les médias grecs. Deux noms ont occupé la une, ces dernières semaines.

Le premier est Iasonas Mandilas, dont je vous ai souvent parlé. Sur son fil Twitter, il a posté le message suivant :

Quelques jours plus tard, il a retweeté le logo provisoire de l’Eurovision 2020, déclenchant toutes les spéculations. L’ancien danseur de Demy, désormais chanteur établi, n’a jamais fait mystère de son profond désir de représenter la Grèce au Concours. Sa candidature semble donc se dessiner.

Autre pressentie, Diana Rouvas (ci-dessus – sans rapport familial avec Sakis Rouvas). Interrogée par des fans sur Instagram, elle a répondu qu’elle participerait volontiers. Néanmoins, elle s’interroge : étant australienne d’origine grecque, ne devrait-elle pas plutôt représenter l’Australie ?

Âgée de 35 ans, Diana est en effet originaire de Sydney. Après une longue carrière de choriste, elle est passée au premier plan en 2012, en participant à la première édition du The Voice australien. Elle y a terminé cinquième et sorti un single. Cette année, elle a fait son grand retour dans l’émission, pour sa huitième saison… qu’elle a cette fois remporté ! Et donc, pourquoi pas l’Eurovision à présent ?

Pendant ce temps-là, nos Eurostars grecques se sont retrouvées à Athènes, le 22 septembre dernier, pour le concert OPAP. Voici en conclusion, les prestations de Sakis Rouvas, Helena Paparizou et Eleni Foureira.

À suivre…

(avec la collaboration de Pauly)