Le véritable nom de JOWST est Joakim With Steen. Il est né à Trondheim, troisième ville de Norvège, le 26 juin 1989.

Il a grandi à Tiller puis, à l’âge de 14 ans, sa famille déménage à Steinkjer. Ensuite, il a passé ses études au Noroff Vocational School et commence à travailler comme ingénieur du son en 2011, se rapprochant ainsi du métier qui le passionne, la musique ! Il devient DJ.

Aleksander Walmann Åsgården, qui l’accompagnera sur la scène de Kiev, est né le 12 janvier 1986 d’une famille musicale. En 2012, il tente sa chance à l’émission The Voice version norvégienne. Lors de l’audition à l’aveugle, les quatre sièges se retournent au cours de son interprétation de The A-Team. Au cours de son périple à The Voice, Aleksander rencontre un autre candidat bien connu des fans de l’Eurovision : Knut Anders Sørum qui avait représenté la Norvège au Concours Eurovision 2004 et qui tentait alors de relancer sa carrière, grâce à la célèbre émission. Mais si Knut Anders se fait éliminer dès les premières battles, Aleksander parvient jusqu’à la grande finale, où il termine deuxième.

 

La Norvège participe à la deuxième demi-finale.

They read me like a book that is open,
While punching on a bag and I’m choking.
I’m Looking for a sign, while they’re stepping on my
Mind, but I hide behind a simpleminded notion.
I try act cool, but I’m boiling,
Feeling like a fool, that was chosen.
Try to keep myself calm, while my head is getting
Bombed, really need to get that good vibe going.

So when it’s all or nothing,
I put my nerves in the coffin.
So when it’s all or nothing,
I put my nerves in the coffin.

I’m gonna kill that voice in my head,
I don’t care if I’m falling,
I’m gonna grab the moment.
I’m gonna kill that voice in my head,
I don’t care if I’m falling,
I’m gonna grab the moment.

Getting kinda heavy on my shoulders,
Try to stand straight, but I’m boneless.
Gotta pocket full of prose, while I’m walking on my
Toes, and I’m coping with a map that is roadless.
Got eyes in my neck, but I’m absent,
Quiet in a corner seeking action.
I wanna be bold, but I’m only getting old,
I need to stop drowning in distractions.

So when it’s all or nothing,
Better get that good vibe buzzing.
So when it’s all or nothing,
I get that good vibe buzzing.

I’m gonna kill that voice in my head,
I don’t care if I’m falling,
I’m gonna grab the moment.
I’m gonna kill that voice in my head,
I don’t care if I’m falling,
I’m gonna grab the moment.

Deep, in that beat,
There’s a calling for that leap.
Got no con–trol, but I know, there’s a fire in my soul.
Hidden deep, in that beat, there’s a calling for that leap.
Got no con–trol, but I know, there’s a fire in my soul.

I’m gonna kill that voice in my head,
I don’t care if I’m falling,
I’m gonna grab the moment.
I’m gonna kill that voice in my head,
I don’t care if I’m falling,
I’m gonna grab the moment.

La chanson norvégienne est une bonne composition électro, avec un refrain très catchy. Cependant… on note quelques lacunes. D’abord le chanteur semble hors du tableau. Avec son look un peu paysan (faudrait qu’il abandonne son chapeau) et une voix pas très forte, il ne colle pas à l’ensemble. Ça reste cependant une bonne chanson capable de se qualifier, mais qui ne fera pas d’étincelles en finale.

 

 

Antoine97 – Il a l’air bien sympathique ce chanteur ! Il a un bon flow, il n’a pas l’air de se prendre la tête et il passe bien à la caméra. Les Norvégiens ont pris ce qui était pour moi la seule chanson potable. 🙂 10-11è chez moi, j’hésite à virer l’Italie de mon top 10 pour lui. Une finale serait méritée.

Quentin – C’est vraiment bien, mais j’ai peur pour une qualification.

KaYan – Les moins pires, mais une finale pas du tout assurée. Et je ne savais pas qu’ils avaient invité un des Daft Punk. 😀 Franchement, c’est abusé.

Arthur – C’est vraiment pas mal du tout ! Manque le petit truc pour que ça soit parfait. Mais dans mon top 10 pour le moment !

alexandre – Le refrain est sympa, la mise en scène pas terrible. Faut travailler cette mise en scène : le visuel, ça le fait pas. C’est une chanson plutôt à écouter à la radio.

Daniel – Moi aussi, je trouve qu’il manque quelque chose. Mais impossible de mettre le doigt dessus. Peut-être un meilleur visuel et une prise de confiance en soi de l’artiste. En tout cas, la chanson reste bonne. J’aime bien et ça peut être une bonne chanson de l’été.

Markan – Une chanson dont seul le refrain retient l’attention… Est-ce suffisant pour être dans le TOP 10 en finale? J’en doute vraiment. Il faut reconnaître que c’est bien chanté, mais qu’il n’y a rien de sensationnel dans ce choix norvégien.

Maxime – C’est une chanson très sympa, moderne et très radio-friendly. Ça manque un peu de punch pour accéder au top 10, mais j’aime beaucoup. La Norvège sera de retour en finale, je pense.

Jamaly Zelmerlöw-Landrut – Je découvre aujourd’hui la Norvège : la musique me plait bien, c’est assez audacieux et moderne et ça peut donner lieu à des super remix !! Le refrain n’est pas extraordinairement accrocheur, mais ça ne me déplaît pas. Ce qui me pose problème, c’est le visuel hyper statique. L’idée des masques pourquoi pas, mais il ne se passe rien sur scène ! Et plus grave : le chanteur n’a ni style ni charisme, il ne dégage rien du tout. Avec un look plus sympa et plus de dynamique sur scène, je les enverrais volontiers en finale. Mais si le visuel reste en l’état, je pense que la Norvège restera en demi.

Capucine – Chanson très sympa, mais le refrain manque d’un quelque chose. Le DJ a un petit côté Daft Punk, mais du coup, je trouve que le look du chanteur ne colle pas au reste.

 

Sami – Les norvégiens ont fait un choix intelligent. C’est cool parce que je pense que c’était la seule chanson qui pouvait prétendre à la finale. Ceci dit, c’est frais et sympa, mais ça reste plat et c’est froid. Ce n’est que mon avis, mais ce sera très vite oublié, je pense. ANYWAY : bonne chance quand même et choisissez-nous de bonnes chansons pour l’année prochaine. On sait que vous en avez.

 

 

Ben44 – BOF. La Norvège n’est plus ce qu’elle était. 2/10 , next.

Christophe – Je n’aime pas du tout. NEXT !

Francis – Beurk, la chanson devient pénible à écouter dès la première minute. Alors, une élimination serait justifiée, à mon avis.

Marie – Pas ma tasse de thé !

Tano – Bon. On attendra l’an prochain pour apprécier…. Cette année, il y a beaucoup mieux, ailleurs.

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Recette loupée :

On le sait, la Norvège est célèbre à l’Eurovision pour ses dernières places : 11 sur un total de 55 participations, dont 4 zéros pointés. Le plus célèbre des « nil point » revient à Jahn Teigen qui en 1978, chantait à Paris, Mil Etter Mil. Sauf que, si les jurys européens n’ont pas aimé, les Norvégiens eux ont adoré, car cette chanson est devenue l’un des plus gros succès dans ce pays.

Recette gourmande : 

169 ! C’est l’écart de points entre le gagnant Alexander Rybak, et la deuxième place de l’Islandaise Yohanna. En 2009, il n’y avait pas photo. Fairytale demeure la chanson ayant obtenu le plus de points dans l’histoire de l’Eurovision (si l’on ne compte pas le nouveau système de vote mis en place l’année dernière).

Cerise sur le gâteau : 

En 1985, la Norvège remporte l’Eurovision avec le duo féminin Bobbysocks, mais ce sont trois beaux norvégiens qui débarquent dans les charts du monde entier. Morten Harket, Magne Furuholmen et Pål Waaktaar-Savoy forment le trio A-ha et la chanson Take On Me projette en orbite le groupe qui devient célèbre dans le monde entier. Take On Me devient numéro 1 dans de nombreux pays dont les USA (à l’exception de la France où le disque atteint la 3ème place du top 50).