Ils étaient dans l’ombre, ils sont entrés dans la lumière de l’Eurovision. Ils ont vécu trois intenses minutes, ils ont ensuite repris leur manteau d’ombre. Ainsi va l’Eurovision… Certaines Eurostars se font discrètes, mais poursuivent leur carrière, sans jamais se lasser de la musique. En voici la preuve par onze.

Le représentant autrichien 2007, Eric Papilaya, rêve grand dans Giganten.

Les représentants bulgares 2008, Deep Zone, ont changé plusieurs fois de visages, mais jamais abandonné le fil de sa discographie. Les voici en bulgare dans le texte avec Ti Kade Si et Shokolad.

Le représentant letton 2009, Intars Busulis, se fait contemplatif dans Purva bridejs.

La représentante slovène 2012, Eva Boto, enchaîne Zavedno et Naj vedo.

La représentante néerlandaise 2012, Joan Franka, nous offre The End et Bad Boy.

La représentante tchèque 2015, Marta Jandová, nous présente Barvy et Kridla.

Les représentants lettons 2017, le groupe Triana Park, se multiplie par trois, avec Viss ir izdomats, Lavina et Kamer, où ils sont rejoints par Intars Busulis.

L’aspirante suédoise 2011, Dilba, se rappelle donc à notre souvenir, avec Muddy Water.

L’aspirant suédois 2012 et 2013, Ulrik Munther, atteint l’âge adulte avec Before et Gloom.

L’aspirant belge 2016, Adil, pave la voie à son premier album avec White Bird et Courage In Tomorrow.

Et enfin, l’aspirante française 2018, Lucie Vagenheim, pétille dans Manque d’audace.

À la semaine prochaine pour d’autres découvertes !