Ultime répétition individuelle de cette 58ème édition : l’Italie avec un Marco Mengoni qui n’a toujours pas de tenue adéquate. A part un blouson vert qu’il ne porte qu’après plusieurs exécutions.
Marco sur scène, ça se passe entre lui et lui. Ou plus exactement lui et le public. Car il est seul sur scène. La chanson n’a pas besoin de choristes, ni de chorégraphies improbables et SURTOUT pas de boule à facettes. Non, l’Essenziale est une chanson intimiste et doit le rester. La délégation italienne l’a bien compris.
Le chanteur est comme le décor, très statique sur scène. A la fin de la chanson, il fait l’effort de venir sur le catwalk, au milieu du public. Une bonne chanson, un bon interprète… que demander de plus ? Un costume peut-être ?
En revanche je vous préviens, il aura un costume… vert ! hahaha
Bon, ça va finir très très très haut… 🙂
Décu qu’il ne chante pas derrière son piano.
moi non plus je n’adhère pas a cette chanson
la moin bonne chanson italienne depuis leur retour
ils ne méritent pas un top5 ni un top10