Imri Ziv est né le 12 septembre 1991 à Hod HaSharon, ville d’Israël située dans le District Centre et qui a vu également la naissance de l’actrice et mannequin Bar Rafaeli, six ans avant notre chanteur.

Adolescent, Imri étudie au Ilan Ramon High School, où il fait déjà étal de son talent en faisant partie d’un boysband.

La musique le poursuit même lors de son service militaire obligatoire, où il incorpore un groupe musical. Il a ensuite étudié la communication au Centre Interdisciplinaire de Herzliya.

A l’âge de 21 ans, il auditionne pour la saison 1 de The Voice Israel. Au cours des auditions à l’aveugle, deux des quatre jurys se retournent. L’aventure peut commencer. Elle s’achèvera au cours des battles, son mentor Rami Kleinstein lui préférant Orit Shalom.

Trois ans plus tard, il monte sur la grande scène de l’Eurovision à Vienne, en tant que choriste. Il y accompagne le Golden Boy Nadav Guedj. L’année suivante, il réitère l’expérience à Stockholm, toujours en tant que choriste, cette fois de Hovi Star.

Cette même année, il est une des voix du film d’animation Trolls version hébreu.

L’Eurovision le poursuit. Cette année, il s’inscrit à la saison 4 de HaKokhav HaBa, dont le gagnant remporte le droit de représenter Israël au Concours Eurovision. Il remporte haut la main la compétition. Après deux Concours Eurovision dans l’ombre, c’est dans la lumière qu’il représentera son pays à Kiev.

 

Israël participe à la deuxième demi-finale.

The secret of my life
Is never givin’ up
Now I’m close to you
Walking through the stars
Brings me to the start
When I won with you

I was waiting way too much
For something good to come
And I’m a bit fragile
Was waiting way too much
It’s like an hourglass
And you like trouble

Breaking me to pieces
I wanted you to know that
Every piece broke from you
Breaking me to pieces
‘Coz every time
You come around
I feel alive
Now I’m trying
I’m trying
I feel alive!
I feel alive!

The years I’ve been alone
Far away from home
Reminded me of you
My job is almost done
Baby I can now
Escape away with you

I was waiting way too much
For something good to come
And I’m a bit fragile
Was waiting way too much
It’s like an hourglass
And you like trouble

Breaking me to pieces
I wanted you to know that
Every piece broke from you
Breaking me to pieces
‘Coz every time
You come around
I feel alive
Now I’m trying
I’m trying
I feel alive!

So alive

Alive, alive, alive

Breaking me to pieces
I wanted you to know that
Every piece broke from you
Breaking me to pieces
‘Coz every time
You come around
I feel alive

C’est sur une chanson électro-pop que reposent les espoirs d’Israël. Une chanson bien classique et bien calibrée pour l’Eurovision. Peut-être un peu trop, car elle manque singulièrement d’originalité et on pourrait presque la confondre avec l’autre chanson électro-pop proposée par la Grèce. Reste que c’est festif et qu’on a envie de danser avec Imri… voire plus si affinités…

 

KaYan – Il est dans la demi-finale la plus facile, je pense. Et comme nous, Français, ne pourrons pas voter pour la Belgique, malheureusement, je voterai pour Israël. Même s’il n’y a rien de révolutionnaire, mais ça vaut largement la pop suédoise que l’on va entendre ce soir.

Alexandre – J’aime bien cette chanson. Je la trouve plus contemporaine que la chanson grecque et elle ne laisse pas les auditeurs en cours de route. De plus, j’apprécie beaucoup les éléments de musique juive. S’il est aussi talentueux sur scène que sexy, normalement, Israël devrait passer sans problème en finale.

Maxime – C’est pas très original et novateur, certes, Israël ne prend pas beaucoup de risques, mais ça marche très bien sur moi ! C’est moderne, ça bouge, le pont un peu plus traditionnel me plait beaucoup. En finale sans souci, et pourquoi pas un top 10 ?

RV – Ouahhh, ça va aller fort pour ISRAËL ! Finale assurée ! Ca va plaire beaucoup ! Un tube d’été haut dans le tableau !!!!!!!!!

 

Capucine – Bof bof, avec tout ce qui vient de sortir, c’est un peu faiblard. Je le mets dans la moyenne, parce qu’on a bien pire cette année.

Reg – Une chanson qu’on a l’impression d’avoir déjà entendu une bonne dizaine de fois à l Eurovision ! De l’Eurodance pur jus Eurovision, comme l’ont déjà envoyé la Russie, la Grèce, Chypre… et j’en passe ! Le problème, c’est que ce style ne suffit plus pour gagner. J’en veux pour preuve le style des 5 derniers gagnants. Là pour Israël, on se retrouve encore une fois avec du déjà-fait et du déjà-entendu et pire, du déjà-vu ! C’est du réchauffé, même le pont ethnique ne sauve pas la chanson.

Yoann B – Bon, alors… Il y a un petit truc que j’aime dans cette chanson, c’est le petit instrument traditionnel qu’on entend autour de 2m15… ^^ RHOOO je plaisante! Considérant l’ensemble des chansons cette année, c’est dans le milieu/haut du classement pour moi.

 

 

Rob – Du réchauffé de ouf, comme une mauvaise pop suédoise, je suis trop deg ! Heureusement qu’il a du charisme, ça va donner un peu de saveur au truc sur scène.

Tano – Grrrrr…… Bon , OK. Il est beau, il est jeune, sa chanson est toute formatée boîte gay-friendly. Mais pour moi, désolé, la mayonnaise ne prend pas ou la sauce au miel est trop sirupeuse. Je préférais de beaucoup la chanson d’Hovi Star, l’an dernier. Sorry pour les amateurs, que je rassure : on le verra sans grande surprise en finale. A moins que les téléspectateurs aient un éclair de lucidité au moment du vote !

Francis – Non merci, sans façon. Next ;p

 

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Recette loupée :

En 1986, alors qu’Israël avait connu des années de succès (six top 10 dont deux victoires consécutives), un duo se présente à Bergen et termine avant-dernier du Concours. Ce fut le premier véritable échec d’Israël. Faut dire qu’avec cette chanson, ils l’avaient cherché !

Recette gourmande : 

Israël a soulevé le trophée à trois reprises. La dernière fois est symbolique. Dana International avait fait couler beaucoup d’encre à l’annonce de sa participation. Certaines réactions à son égard ont été très violentes. En particulier dans son pays. Mais la belle a résisté aux menaces proférées contre elle, a participé et a gagné le Concours. L’Eurovision a souvent de belles fins : les méchants perdent et les gentils gagnent. Faut dire aussi qu’elle avait une des meilleures chansons de ce cru 1998.

Cerise sur le gâteau : 

Rika Zaraï est la plus française des chanteuses israélienne. La chanteuse née à Jérusalem a repris un grand nombre de chansons issues de l’Eurovision en français. On se souvient – ou pas – du « Petit Train«  (Ding-a-dong) ou encore de « Alors je chante » (Vivo Cantando). Elle a aussi repris en français les deux gagnants de 1978 et 1979. La voici dans la version française de « A-ba-ni-bi ».