Poursuivons notre découverte des participants de ce 58e Festivali i Këngës. Aujourd’hui : Olta Boka et Sara Bajraktari.
OLTA BOKA
Née en 1991 à Tirana, Olta débute sur scène dans des concours pour enfants. Elle s’inscrit ensuite à la Nouvelle Star albanaise, mais sa carrière prend réellement son envol en 2007, lorsqu’elle participe au Festivali i Këngës.
Elle remporte la compétition avec Zemrën e lamë peng et part pour Belgrade, représenter son pays à l’Eurovision. Elle y termine dix-septième en finale.
En 2009, Olta part à la conquête du Kënga Magjike. Elle y participe en 2009, 2010, 2011 et 2013.
En 2014, elle passe au Top Fest.
Elle se concentre ensuite sur sa carrière commerciale et publie de nombreux singles.
Olta revient donc au FiK pour la seconde fois, douze années après sa victoire. Elle y chantera Botë për dy.
SARA BAJRAKTARI
Née à Tirana en 2004, Sara débute dès ses sept ans dans les concours de chant pour enfants. Elle y remporte plusieurs prix. En 2016, elle est finaliste de l’émission Gjeniu i vogel.
En 2017, elle termine deuxième de la sélection albanaise pour l’Eurovision Junior.
En 2018, elle est finaliste du The Voice Kids local.
Et cette année, elle participe pour la première fois au Kënga Magjike.
Sara fait donc ses débuts au FiK. Elle y chantera Ajër.
À la première écoute, c’est un non pour les deux chansons. Je les trouve fades, je préfère celle de Tiri que j’ai écouté précédemment.
Déception pour le titre d’Ultra Boka. Son retour au FiK accouche d’un pétard mouillé.
Par contre j aime assez le titre de la très jeune Sarah. Si d’aventure elle gagnait (ce qui est fort improbable), sera t elle assez âgée pour participer au concours ?
Elle sera à suivre dans les années qui viennent.
Bon, c’est décidé, je vais vraiment écouter les titres du FiK en entier (mon rythme de vie actuel avec le taf me laisse moins de temps, mais je vais en trouver!). Sur mon test 1 minute, la chanson d’Olta Boka ne m’a pas emballé plus que ça, tout comme celle de 2008 ne m’a jamais emballé, à l’instar du concours en entier cette année-là à deux trois chansons près.