Nathan Trent est le nom de scène de Nathanaele Koll, né le 4 avril 1992 à Innsbruck. Il vient d’une famille d’artiste. Ses parents tiennent à ce qu’il suive leur trace, aussi ils décident de lui offrir des leçons de violon et de piano dès l’âge de trois ans. Il faut dire que papa est un grand violoniste membre de l’orchestre du Théatre National d’Innsbruck, ce qui fait que le petit Nathanaele a pratiquement vécu une bonne partie de son enfance et adolescence au théâtre. Enfant, il participe à de nombreux spectacles musicaux, ce qui lui a valu de développer rapidement ses performances vocales. Pour cela, il prend des cours de chant.

Il commence à écrire ses premières chansons à l’âge de onze ans.

En 2003, le chanteur précoce participe à un concours national télévisé, le Kiddy Contest, avec la chanson Fußball, qu’il ne gagnera pas mais qui lui permettra de réaliser sa première apparition à la télévision.

En 2011, Nathanaele a 19 ans et décide de participer à X-Factor. L’expérience est moyennement concluante, puisqu’il termine 11ème sur 12.

L’Eurovision l’intéresse énormément. Il regarde le show depuis l’âge de 10 ans et avoue être fan du Concours. Il est aussi un grand fan de Lena, gagnante pour l’Allemagne en 2010. Tellement fan qu’il a voulu suivre ses pas et s’inscrire à la sélection allemande pour le Concours 2017. Il convainc au point de faire partie des 33 prétendants à la sélection. Puis l’ORF fait appel à lui pour représenter son propre pays, ce qui fait que celui qu’on appelle dorénavant Nathan Trent, se retire de la compétition allemande. Il ira chanter à Kiev pour l’Autriche.

 

L’Autriche participe à la deuxième Demi-Finale.

It’s been a long time running, ’cause I had some things to see
I had to meet some people who were there to believe in me
I’m taking all that struggle, reminds me of what I’m fighting for
I’m living it up, I ain’t gonna stop, ’til I make that final score

And I’ll keep running…as far as I can
I’ll keep running…I won’t stop, I won’t stop (no, no)

Hey now, if you push me down I’ll get up again
Hey now, if you let me drown I’ll swim like a champion
I’m sure, there’ll be good times, there’ll be bad times
But I don’t care…’cause I’m running on air

Give me a million reasons, and my answer stays the same
You can try to put me in a box, but I’m doing it my own damn way
See I can’t stand them talkers, all pretending that their life’s a mess
’cause whatever you want, whatever you need, you gotta get off your…

And I’ll keep running…as far as I can
I’ll keep running…I won’t stop, I won’t stop

Hey now, if you push me down I’ll get up again
Hey now, if you let me drown I’ll swim like a champion
I’m sure, there’ll be good times, there’ll be bad times
But I don’t care…’cause I’m running on air

Hey, I’m running on air
Running, running on air
(O-oh) Running, running, now I don’t care…

Hey now, if you push me down I’ll get up again
Hey now, hey now
Yea-ah

You can push me, push me down
Hey now, but I’ll get up again
I’m sure, there’ll be good times, there’ll be bad times
But I don’t care…’cause I’m running on air


L’Autriche nous offre cette année une chanson pop bien radio-frendly, mais il est difficile de savoir comment celle-ci sera reçue par les jurys et les téléspectateurs de l’Eurovision, qui auront un grand choix de chansons pop lors du Concours. C’est en tout cas un titre de bonne facture, bien soigné et qui donne envie de se dandiner au son de la musique et de pousser la chansonnette avec ce jeune chanteur.

 

Quentin – J’adore cette chanson, je pense que l’Autriche va s’offrir la joie d’une quatrième qualification à la suite.

Maxime – J’aime bien, c’est moderne, c’est peut-être pas la chanson du siècle mais ça se laisse écouter et c’est un peu plus enlevé que le reste des chansons déjà connues.

Nounours – Une bonne chanson très bien produite ! C’est frais, léger, une bonne surprise venant de l’Autriche, ça devrait aller en finale

Antoine97 – S’il chante aussi bien en live et qu’il a l’attitude qui va avec le son, je pense qu’il fera un top 10. C’est simple, efficace, sans prétention. Il y a toujours un public friand de ce genre de prestation !

Alexandre – J’aime bien, voire beaucoup cette contribution autrichienne pour Kiev. Au début, je craignais une chanson pop sans grand intérêt mais la chanson se révèle légère et compétitive à la fois. Le refrain est efficace et le tout dégage beaucoup de sympathie.

 

Christophe – Effectivement cela se laisse écouter, mais pas au point de faire replay sur replay… Mais sur une unique écoute, avec une bonne présence scénique, je pense aussi que la finale est bien accessible !

Jerem – Bien produit faut être honnête, mais ça ne marche pas du tout sur moi. Maintenant le côté Maroon 5 devrait trouver son public (perso, je déteste ce groupe) lol.

Daniel – C’est une chanson dans l’air du temps. Elle est très agréable à l’écoute. Après je l’ai assez vite oubliée. Il manque le petit truc qui fait qu’elle soit unique. Normalement ça devrait aller en final pour autant

Nico – Sympa la chanson de l’Autriche, c’est dans l’ère du temps et radio friendly. Je pense que Nathan se qualifiera en finale, après je ne suis pas sûr qu’il puisse aller très haut dans le classement, mais il s’agit d’un choix interne qui est bon et qui devrait être payant.

 

Aubinais – Pas terrible. Un peu inodore … Mais bon, y a bien pire.

P’tite Hildy – Ça peut paraitre fade mais je ne suis pas fan de ce type de chanson douce/feel good comme celles de Franz ou Douwe Bob l’année dernière (même si j’ai adoré la prestation de Douwe Bob en live!). En gros, je suis assez partagée et nulle pour juger. J’espère quand même un bon score pour Nathan et l’Autriche.

 

 

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Recette loupée :

Coup d’essai n’est pas toujours synonyme de coup de maître. J’en veux pour preuve la toute première participation de l’Autriche, en 1957, qui se solde par une dernière place au classement.

Recette gourmande : 

Une bonne recette, c’est aussi une belle chanson et une belle émotion. On se souviendra encore longtemps, très longtemps, de cette victoire autrichienne et de ce fameux « We are unstoppable » !

Cerise sur le gâteau : 

L’Autriche peut-elle s’enorgueillir d’avoir proposer à l’Eurovision une chanson qui a fait le tour du monde des bêtisiers sur le Concours ?